lundi 14 septembre 2015

Petit coup de gueule... peut-être excessif, contre des féministes pour changer

ET COMME D'HABITUDE, DES FÉMINISTES (des "angelféministes" je dirais, sans doute de toutes jeunes femmes aussi condides -euh je laisse- que je l'ai été quoique... à leur âge?) DE CLAMER QUE CE VERDICT (12 ans contre la mère de Bastien) EST SCANDALEUX. MARRE... ONT-ELLES ÉTÉ MALTRAITÉES ? ONT ELLES CONNU LA SOLITUDE D'UN ENFANT QUI EST SEUL POUR FAIRE FRONT A SES PARENTS QUI SE DONNENT LE "LA" MUTUELLEMENT ?

L'un est une victime; Soit. Mais lequel ? Elle? Soit. Mais une victime -ce que sont ces femmes dont il est question, indiscutablement- n'est pas toujours innocente comme le veut le paradigme : celle-là a sciemment armé son mec -malade cérébral, un méningiome- à bout -il avait laissé un message pour dire que "si on ne fait pas quelque chose -à propose de Bastien- je le passe par la fenêtre"- en dénonçant -mensongèrement- l'enfant pour de soi disant bêtises juste après. Vous avez bien lu. Juste après. Le résultat était prévisible et sans doute voulu. Peut-être même pas mal joué. L'emprise... mmm se joue à deux et parfois s'inverse. Non (réponse à l'une) je n'exige pas qu'une femme se sacrifie pour ses enfants mais juste qu'elles ne poussent pas un dingue à les mettre dans une machine à laver mode essorage une heure (on l'a sorti en steak.)

D'autre part, une "emprise" dans un couple se joue souvent de manière réversible. L'un semble sous emprise parce qu'il/elle a mettons sacrifié sa carrière à l'autre, lequel ou laquelle peut même en profiter pour le ou la tyranniser -plus ou moins-... Mettons que celui ou celle qui a bénéficié du sacrifice de l'autre soit sujet à des crises au cours desquelles il ou elle peut se montrer violent/e. Donc voici un ou une qui est "sous emprise" d'un/e violent/e. Bien.

Mais par ailleurs l'emprisé/e bénéficie d'une vie pépère et de loisirs agréables qu'il ou elle passe avec de joli/es femmes ou hommes, ce que l'autre, l'empriseur/e tyran/ne accepte, totalement aveugle, glorifiant le ou la volage, paré/e de toutes les marques d'une admiration qui ne se dément pas -y compris la fidélité !- .. L'empriseur/e est donc aussi emprisé/e..  

Alors ? Les deux emprises s'annulent? Peut-être... Plus l'âge vient et plus l'un domine. Ici, pas celui ou celle qui est en meilleure santé comme on aurait pu croire, mais au contraire, celui ou celle qui est plus fragile : l'autre est à ses petits soins. Une fois de plus le faible domine ou soi disant faible. Celui qui semble sous emprise est aussi et de plus en plus l'empriseur/e.

Mettons qu'ils aient un enfant... qui souffre des infidélités du ou de la volage (père ou mère)... et que celui ou celle ci tient à distance le plus possible...(de peur d'être dénoncé/e)... un mépris, un rejet prégnant, allant jusqu'à le ou la dénoncer auprès de l'autre (que cependant l'enfant défend !) Et ça marche ! Briefés l'un par l'autre, les deux vont dézinguer l'enfant (rejet, coups et même ce qui ressemble tout à fait à une agression sexuelle..). Pour préserver "son" couple (si merveilleux), même celui ou celle que l'enfant défend finit par consentir à s'en débarrasser

L'enfant est le "dükdalven" DES DEUX. Mais le ou la seule qui puisse être incriminé/e est celui ou celle qui A AGI. Pour l'autre ? Oui bien sûr mais CA NE SE VOIT PAS. C'est celui ou celle qui avait intérêt à se débarrasser d'un enfant qui représentait un risque... mais qui ne pouvait se charger clairement du truc car il ou elle n'avait pas le pouvoir officiel: il ou elle a donc fait exécuter le truc par l'autre. (Le syndrome de Stockholm vous connaissez). Discrètement. Mettons qu'on soit chez des bourges intellos. Le ou la "faible" du couple invoque des maladies, (l'enfant le/la fatigue, il/elle a de la tension, il lui faut du repos) ... dénonciations (l'enfant est violent, il/elle a ... blabla) etc... et ça marche !! Il reste que celui ou celle qui a actionné la télécommande, (le ou la vrai/e empriseur/e ... je simplifie car il ou elle est ou fut tout de même aussi -un peu- sous emprise) est innocent : une victime... un homme ou une femme au dessus de tout soupçon qu'on va parfois même plaindre. Qui a bien du mérite 

=> De même des femmes (ou des hommes) tirent-ils/elles les ficelles d'un crime ou d'un méfait contre l'enfant sans que l'on ne se rende compte que c'est eux les déclencheur/es voire en les défendant a priori. (Si ce sont des femmes et si le public est féministe). Sous emprise, le maître mot. C'est probablement le cas (en mille fois pire que celui que je viens de citer) de notre Charlène de la Machine à laver, qui dénonce son fils à un homme qu'elle sait à bout, hyper violent, (mensongèrement en le cas !!) sachant ce qu'il va advenir... Et l'emprise (de l'homme, oui j'ai bien dit) est bien constituée car il joue le jeu : du propre aveu de sa femme, il lui demande de "se pousser (elle se serait mise devant la machine, ce qui est démenti par sa fille) "parce qu'il ne veut pas qu'elle soit accusée de meurtre". Elle s'est poussée. Elle n'a pas été accusée. La complicité n'a même pas été retenue. Pas mal. 12 ans ? Pas mal aussi. mais elle n'en fera que six donc trois puisqu'elle a déjà purgé trois en préventive.

Voir "Deux femmes,d eux passés... " une devinette. http://journalphilosophoque.blogspot.com/2015/09/oui-mais-le-probleme-est-bien-la-une.html

Le dossier Bastien
http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2015/09/bastien-le-dossier.html

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