Mais il reste qu'en certains cas, reprendre (comme l'a fait Fillon) des propos d'un autre, en le cas d'un ennemi politique, peut aussi être... disons suspect donc doit se faire avec précautions, en citant précisément l'heureux papa d'une telle connerie, ici Villepin. Sinon on court le risque de se faire botter le cul à sa place par une cohorte d'érynies déchaînées. (La politique ici semble une activité mondaine d'initié/es menée par quelques cadors où dans le club, on sait que c'est Untel kiadike.... donc on ne se goure pas. Mais Villemicocoulier n'est tout de même pas Hegel ; ni Fillou, Marx ... et il faut aussi tenir en compte le/la couillon/ne cévenol/e de base -kapalatélé-.)
Parce que le problème est là : des journalistes (ou qui se disent tels) d'une certaine ogresse... euh presse caniveau, la plus lue hélas, jouent avec perversité de ces ambiguïtés lorsqu'ils prétendent par exemple défendre telle tête, couronnée, mettons de cornes (ou d'autre chose de peu enviable) contre des accusations qui ne lui ont jamais été portées (ou que le brave peuple ignorerait toujours sans leurs diatribes d'avocats auto- promus) ... sur le mode de : "il est odieux et inacceptable de traiter (...) de (..) sous prétexte qu'elle a (...) etc... Lazareff disait à ce sujet : "une information plus un démenti, cela fait deux informations." J'ajouterais "un démenti d'une information, (fausse ou vraie) cela fait aussi au moins une information."
Ici c'est certes en toute bonne foi, mais on tombe tout de même dans la marmite ... par la maladresse d'un gus a lui-même prêté son cul à la poulaine... une maladresse qui est elle-même significative d'une certaine arrogance macho égocentré. Donc on ne va pas lui mettre des compresses si ça le cuit un peu.
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