La nature nous offre tout ou presque... dont souvent nous ne tenons pas compte voire que nous saccageons.. (on tond et ne voit plus ces plantes salvatrices) ... ce qui nous oblige à acheter, à produire et à détruire. Le matin, mon marché dans la montagne ! Fenouil (excellent anti depresseur cf Hildegarde von Bingen -dite sainte-, la première naturopathe connue -13ieme siècle -) plantain et chardon (pour ceux qui picolent protège le foie... ce n'est pas mon cas mais bon...) ou autres plantes. Les broyer et en extraire la chlorophylle. .. boire !! Un peu amer mais on s'y fait !! Un sentiment immédiat de ... force joyeuse... un peu comme si on avait avalé cul sec un verre de vin. Ou alors on met les herbes dans le philtre avec le café et on a un café délicieux au goût d'anis. On peut même en mettre moins.
Au jour le jour, politique (?), amours, haines, brocards et fantaisies
mardi 19 avril 2016
lundi 7 mars 2016
jeudi 3 mars 2016
En vrac... pas le temps !!
Lever du soleil (de retour de Carémeaux)
Repas (depuis quelques temps sans que ça ne varie) : eau (du puits), sel, laurier, ail ou plutôt aulx, (4 gousses), et rajout selon ce qu'il y a autour de moi (et mon humeur) de pissenlit, (feuilles et racines), asperges sauvages, (quelques pointes, très diurétique !) et surtout de jeunes pousses de FENOUIL (qui viennent de lever, odorantes et selon Hildegarde Von Bingen (une religieuse franconienne inspirée du 11ième siècle, à la fois artiste, naturopathe et théologienne, béatifiée) le fenouil paré de multiples vertus NOTAMMENT ANTI DÉPRESSIVES et de purification du foie, rate etc ... le fenouil que je me mets presqu'à apprécier maintenant, suivant en cela le principe qu'un aliment (ou médicament?) dont on a besoin nous devient agréable au goût et vice versa (cela ne marche pas à tous les coups!! cf l'alcoolisme, la drogue...) Bizarrement, à l'époque de Hildegarde, l'alimentation et la santé allaient de pair : un aliment était AUSSI BÉNÉFIQUE POUR CELUI QUI LE MANGEAIT... dont il était A LA FOIS BON AU GOÛT ET AU CORPS... Tandis que de nos jours on sépare et même on oppose : les aliments (même bio, issus de boutiques impec) sont là pour le seul plaisir... la santé, les bénéfices physiologiques n'existent pas ou ne sont pas vraiment tenus en compte... Pour cela, il y a les médocs. C'est comme s'il était implicitement convenu que l'aliment, même "top", SATISFAIT PEUT ETRE LES SENS MAIS AUSSI DÉTRAQUE LE CORPS..
Trust agro alimentaires et labos : une connivence ?
Article-base http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2015/12/le-meilleur-des-mondes-cest-maintenant_18.html (Collusion imaginée -par moi- dans un petit supermarché -Lidle- où je rencontre des potes -TOUS MALADES- entre les labos et les patrons de l'agroalimentaire bon marché bourré de "E" et de graisses saturées... repris par le Monde..)
Hé oui, il fallait y penser... mais après tout, les virus qui nous coûtent parfois si cher à enlever de nos ordi n'ont-ils pas bien souvent été installés discrétos par ruse par des infirmaticiens (je laisse !!! informaticiens) pour s'assurer des jobs faciles et rentables : les réparer !? Pourquoi les boss des trust agroalimentaires et des labos auraient-ils plus d'éthique ? Parce que c'est plus grave lorsqu'il s'agit du corps humain? Vous voulez rire ! pourquoi donc de la même façon ne travailleraient-ils pas main dans la main des trust des labo pharmaceutiques en nous détraquant sciemment (du moins les pauvres) ? Un coup "je t'esquinte grave"; deux coups "je te répare" ... mais dans les deux cas, aboule le pèze j'ai mon compound à Los A. à payer, pauvre tâche!!!
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/article-du-monde-ou-de-ses-lecteurs-sur.html
.Voir aussi l'article base (le mien) titré "le meilleur des mondes c'est maintenant" http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2015/12/le-meilleur-des-mondes-cest-maintenant_18.html
(... et l'article suivant)
Hé oui, il fallait y penser... mais après tout, les virus qui nous coûtent parfois si cher à enlever de nos ordi n'ont-ils pas bien souvent été installés discrétos par ruse par des infirmaticiens (je laisse !!! informaticiens) pour s'assurer des jobs faciles et rentables : les réparer !? Pourquoi les boss des trust agroalimentaires et des labos auraient-ils plus d'éthique ? Parce que c'est plus grave lorsqu'il s'agit du corps humain? Vous voulez rire ! pourquoi donc de la même façon ne travailleraient-ils pas main dans la main des trust des labo pharmaceutiques en nous détraquant sciemment (du moins les pauvres) ? Un coup "je t'esquinte grave"; deux coups "je te répare" ... mais dans les deux cas, aboule le pèze j'ai mon compound à Los A. à payer, pauvre tâche!!!
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/article-du-monde-ou-de-ses-lecteurs-sur.html
.Voir aussi l'article base (le mien) titré "le meilleur des mondes c'est maintenant" http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2015/12/le-meilleur-des-mondes-cest-maintenant_18.html
(... et l'article suivant)
mercredi 2 mars 2016
Article du Monde (ou de ses lecteurs) sur l'agroalimentaire, à lire absolument !
Article base (le mien, passons!!) http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2015/12/le-meilleur-des-mondes-cest-maintenant_18.html
Suite de l'article et l'image (de "Lidle") http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/trust-agro-alimentaires-et-labos-une.html
A l'occasion de la diffusion du web documentaire-enquête "Nestlé, un empire dans mon assiette" sur les méthodes du numéro un mondial de l'alimentation fort de 8 000 marques, les réponses des lecteurs-journalistes du Monde sont sans équivoque :aucune confiance dans les grandes marques mues par la recherche de profits à court terme au détriment de la santé et de l'environnement, cherchant à duper les clients et ils tentent au maximum de privilégier les produits du marché, frais et de saison, et les circuits courts.
Course aux profits et destruction de l'environnement
Mondialisation alimentaire, par David..
L'alimentation a subi la mondialisation au même titre que les autres secteurs d'activité, on peut aujourd'hui acheter un paquet de chips de la même marque dans tout l'occident. Economie d'échelle pour les industries agroalimentaires, uniformisation vers le pire (le modèle américain) des modes de consommation pour les consommateurs. Cet exemple s'applique à toute l'alimentation humaine. Au-delà des problèmes sanitaires générés par la course au profit et par des contrôles défaillants ou inexistants, je n'ai aujourd'hui plus aucune confiance en des entreprises — transnationales pour la plupart — qui, non contentes d'optimiser fiscalement leur activité au détriment des Etats et donc des peuples, semblent marcher main dans la main avec l'industrie pharmaceutique… En effet, quelle aubaine de pouvoir d'un côté rendre malade les consommateurs, et de l'autre leur proposer des produits pour lutter contre ces maux ! Je privilégie les circuits courts, aussi bien pour des questions environnementales que pour favoriser des entreprises à taille humaine qui font partie intégrante de la société et de son marché, taxe et emploi locaux inclus.
Une industrie néfaste pour la santé et l'environnement, par Pierre
Je ne leur fais plus confiance en raison d'un principe simple. Tout ce qui est produit à échelle industrielle est par essence conçu pour se conserver dans le temps et être vendu à la plus grande quantité possible pour maximiser le profit. Ces deux éléments impliquent dans les ingrédients du produit vendu : 1) des conservateurs ; 2) des ingrédients à base de sucre et glucose sous diverses formes, qui touchent une zone du cerveau favorisant la dépendance, exactement de la même manière qu'une drogue. Enfin, le packaging, non seulement est polluant pour l'environnement et l'océan en particulier, mais en plus pour l'homme (effets dévastateurs du bisphénol A et des phtalates sur la qualité du sperme de l'homme et malformations de nouveau-nés). Et ce alors qu'il existe des fournisseurs français de packagings 100 % biodégradables et écologiques, élaborés à partir d'algues en Bretagne dont on ne sait plus que faire ! Je ne me fournis que directement auprès des maraîchers, de mon potager et sur les marchés locaux. Question de principe et, surtout, d'éthique.
Des produits centrés sur le coût, par Philippe, 66 ans
Ancien PDG de trois usines agroalimentaires fournissant des fabricants de produits tels que pâtes, biscuits, charcuteries, et parmi les plus grands (Danone), je ne me souviens pas d'avoir jamais abordé autre chose que le prix. Bien sûr il y a des cahiers des charges, qui la plupart du temps ne sont d'ailleurs pas réalistes et servent uniquement de parapluie en cas de pépins, des certifications CEE, ISO, etc., qui ne sont que des bouts de papiers récompensant des procédures qui n'existent que le temps de leur obtention, mais en pratique, les usines, et même les plus grosses ne regardent que la ligne profit. Certains industriels, sous couvert de températures de cuisson élevées, n'hésitent pas à utiliser des produits périmés contaminés ou cent fois reconditionnés. Quand il y a un lot de matières premières avariées, il y a toujours plus d'acheteurs intéressés. Quand aux contrôles et aux fraudes, les services vétérinaires sont débordés, souvent inefficients, et surtout pas regardants. En dix ans, sur mes trois usines, je n'ai jamais eu un vrai contrôle, mais par contre beaucoup de déjeuners.
Appétits financiers, par Jean
Je n'ai absolument aucune confiance envers les marques de l'industrie agroalimentaire dont le seul but est de satisfaire leurs appétits financiers. Les consommateurs sont sciemment dupés, abusés et rendus captifs par les campagnes de "marketing" (c'est à dire de désinformation) toujours plus performantes et destinées à sanctifier les marques de l'industrie agroalimentaire. La bonne santé des consommateurs, la juste rémunération des producteurs, le respect de l'environnement sont incompatibles avec la logique d'augmentation des parts de marché et des bénéfices de l'empire agroalimentaire. L'étiquetage des produits ne vise en aucun cas à informer honnêtement les consommateurs, bien au contraire, et le lobby agroalimentaire œuvre pour que la réglementation lui soit la moins contraignante possible. En tant que consommateurs, nous avons le choix de ne pas contribuer aux effets néfastes de cette industrie, en modifiant notre approche de l'alimentation. Nous devons autant que possible prendre le temps de cuisiner nous mêmes nos repas en privilégiant les produits frais issus de circuits courts. Et pourquoi ne pas profiter d'un bout de jardin ou d'une terrasse pour faire un coin potager ?
Perte de notre patrimoine alimentaire, par Dominique, 32 ans
L'industrie agroalimentaire française est triplement coupable. Un, elle vend des produits frelatés, truffés de produits chimiques variés, emballés dans des plastiques polluants et dangereux pour la santé et la planète. Deux, elle détruit l'environnement en incitant l'utilisation de produits agricoles qui engendrent sa pollution, de la souffrance animale et atteint à la santé des agriculteurs et des riverains. Trois, elle détruit le patrimoine culinaire français, les savoir-faire, le bien-manger et fait son beurre en propageant l'obésité. Je suis très choqué de la collaboration soumise du pouvoir politique à ces industries alors même que notre pays est le plus talentueux en la matière. Vivent les petits producteurs, les cuisiniers et tous les réseaux alternatifs qui organisent la résistance face à cette industrie qu'il faudrait détruire à coup de taxes pour lui faire payer les conséquence sanitaires de son activité immorale.
RETOUR AU LOCAL ET AU BIO par Jean, 68 ans, La Roche-sur-Yon
Il est inutile de manger en février des tomates sans saveur ! Bien avant les scandales alimentaires, je m'étais rendu compte des arnaques : prix maintenus mais moins de produit (Prince…). J'avais aussi acheté des produits sous plastique : jambon blanc, mozzarella, etc. dont le paquet gonflait anormalement, mais aussi du fromage sans goût et d'autres articles avec trop de sel, trop de sucre. Le chorizo désormais bien trop pimenté et immangeable ! Les étiquettes ne résolvent pas les problèmes de qualité, et j'en avais assez de passer mon temps à lire des textes illisibles ou nébuleux. (Ndlr : incompréhensibles tout simplement et intentionnellement.) J'en avais assez aussi de remplir mes poubelles avec des plastiques de toutes sortes en me posant les questions de la santé et de l'environnement. Depuis quelques années je consomme local et je privilégie les produits frais et de saison. Il est inutile de manger en février des tomates bien rondes mais sans saveur. Depuis quelques années, je fais un jardin, et les légumes que je mange (à la saison) sont délicieux et sans comparaison possible avec ceux des hypermarchés. Je n'achète que les produits de base (farine, sucre, etc.) dans les grandes surfaces et surtout pas de produits de l'agroalimentaire. Non, ces produits sont mauvais ou sans goût, et je n'ai aucune confiance en leur qualité et leur effet sur la santé. Non merci, sans façon !
Mes légumes sont produits dans un rayon de 40 km, par Jean, 40 ans, profession libérale en Ile-de-France
L'industrie agroalimentaire n'est pas tenue de participer à notre santé. Son objectif premier est de développer son chiffre d'affaires. donc nous devons être très méfiant envers ses produits. Aujourd'hui, j'achète tous mes produits frais (légumes et fruits, viandes et fromages) au marché en sélectionnant des artisans de qualité et les circuits courts (dans un rayon de 40 kilomètres par exemple). Je me rends à présent au supermarché uniquement pour les achats de produits ménagers, quelques conserves (pois chiches par exemple), les biscuits, en prenant soin de toujours détailler les ingrédients (je fuis comme la peste la mention "arômes" et la ribambelle de colorants en E). En quelque sorte, je n'achète que les produits les plus simples ayant subi le strict minimum de mise en œuvre. L'essentiel des produits diffusés par l'industrie agroalimentaire est malsain pour notre santé. Il suffit, pour s'en convaincre, de détailler la liste des ingrédients. On n'imagine pas à quel point nos industriels sont inventifs en termes d'intrants chimiques alimentaires. Il y aurait un gros travail à faire sur l'étiquetage (ingrédients sains et malsains, traçabilité, empreinte carbone…) afin d'aider (éduquer ?) au mieux les familles. Je pense aux enfants.
Je mange bio depuis quinze ans, par François, Paris, 40 ans
Lorsqu'on sait que Rudolf Steiner avait déclaré en 1919 qu'une vache mangeant des protéines animales explosait son taux d'urate et devenait folle et que ce n'est qu'en 1999 que les farines funestes furent enfin interdites, on mesure le pouvoir de l'industrie agroalimentaire et de sa démarche définitivement meurtrière en ne pensant jamais au consommateur mais toujours à ses profits et aux dividendes des membres du conseil d'administration. Je cite cet exemple effarant mais tout le monde en connaît une bonne dizaine. Depuis quinze ans je mange bio et me désole de l'appauvrissement des goûts (toujours plus de sucre et de sel) et m'inquiète de l'état dramatique de la terre, de nos eaux, de notre air que l'agriculture intensive pollue toujours plus. Les conséquences sont connues, établies : maladies cardio-vasculaires, diabète, cancers… J'en veux à toutes les personnes qui ont de l'argent et qui pourraient acheter bio, augmentant ainsi la demande qui inciterait les agriculteurs à se convertir, donc modifieraient l'offre, de sorte qu'à terme, ce ne soient plus seulement 2 % du territoire cultivés mais bien davantage de superficies, afin que les personnes modestes puissent y accéder également, enfin, sans que l'argent soit un frein à leur désir de nourrir sainement leur famille. Je connais tous les argumentaires des «antibiologiques » ; aucun ne résiste à la force de « l'habitude » du consommateur ne désirant fondamentalement pas changer sa consommation !
CONSOMMATEURS VIGILANTS
Je suis devenu plus vigilant aux étiquettes, par Lionel, 44 ans, informaticien
En une dizaine d'années, je suis passé de la consommation automatique (je prends un produit, je pose dans le Caddie) à la consommation temporisée (je prends un produit, je lis l'étiquette, je valide ou non mon choix). Au fur et à mesure de mes lectures, des différents reportages télé, des scandales incroyables touchant aux industries agroalimentaires, ma sensibilité s'est accrue, ma curiosité également, ma révolte certainement un peu aussi. Je suis donc devenu plus vigilant. Ayant conscience que se passer de produits agroalimentaires serait difficile pour moi (j'ai néanmoins éliminé tous les plats cuisinés), je tente d'acheter plus intelligent en me basant sur les informations des étiquettes. Taux de sucres ou de gras saturés, arômes naturels ou artificiels, produit bio ou responsable, mes choix sont plus précis. J'ai été très désappointé lorsque Bruxelles a décidé de ne pas valider les mentions informatives selon le système du feu tricolore. Par ailleurs, je ne me leurre pas : ma prise de conscience et ma vigilance relative me permettent aussi de me donner bonne conscience. Je possède par exemple une machine Nespresso. Je savais parfaitement que ce café dit de luxe laisse une empreinte environnementale négative largement supérieure au café traditionnel. Et pourtant, je l'ai achetée…
J'ai retrouvé le lien avec l'animal, par Yann, 24 ans, Paris
J'ai eu une sorte de révélation il y a quelques mois en achetant du jambon dans un supermarché. En le prenant, je l'ai regardé et me suis dit : « Je ne vois pas le cochon, je vois le jambon. » Je n'ai plus de lien avec l'animal, le jambon est du jambon, pas du cochon. Pour la première fois, je me suis rendu compte que la facilité d'accès à la viande était tellement évidente que je ne l'avais jamais remise en question. Malaise. En me renseignant un peu, j'ai pu commencer à mettre des mots et des maux sur ce malaise ; il y a quelque chose de culturel dans la disponibilité et l'accès facile et à bas coût qui facilite la dépendance, l'achat compulsif sans réflexion. Face à l'opacité de l'industrie porcine (mais pas que porcine) un peu partout dans le monde, à ce qui arrive à en filtrer malgré tout, à l'étouffement des différents partenaires et la mainmise sur le marché, je me suis dit que je ne pouvais pas continuer de soutenir aveuglément une agriculture rendue folle par le productivisme et le rendement. Je suis devenu "végérisien", végétarien à Paris. J'applique le principe de précaution en n'achetant de la viande que quand je suis sûr de sa traçabilité et que je suis d'accord avec son mode de fabrication, c'est-à-dire quasiment jamais (Rungis, France, trop flou donc non). Mais quand je rentre chez mes parents en Bourgogne, c'est la fête ! Je redécouvre le plaisir de manger de la bonne viande en en mangeant beaucoup moins souvent.
L'immense pouvoir des consommateurs, par Jean
Le mauvais comportement des agro-industriels n'est plus a démontrer et le débat n'est plus là. Maintenant il faut avancer et passer de la dénonciation à l'action. Pour cela, chacun a un rôle à jouer sans forcément le savoir. Les consommateurs ne se rendent pas compte de l'immense pouvoir qu'ils détiennent en choisissant de consommer ou de ne pas consommer. Si tout le monde se met à ne plus acheter de mauvais produits, alors seuls ceux de qualité resteront, c'est la simple loi de l'offre et de la demande ! La solution viendra du porte-monnaie !
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/trust-agro-alimentaires-et-labos-une.html
Suite de l'article et l'image (de "Lidle") http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/trust-agro-alimentaires-et-labos-une.html
A l'occasion de la diffusion du web documentaire-enquête "Nestlé, un empire dans mon assiette" sur les méthodes du numéro un mondial de l'alimentation fort de 8 000 marques, les réponses des lecteurs-journalistes du Monde sont sans équivoque :aucune confiance dans les grandes marques mues par la recherche de profits à court terme au détriment de la santé et de l'environnement, cherchant à duper les clients et ils tentent au maximum de privilégier les produits du marché, frais et de saison, et les circuits courts.
Course aux profits et destruction de l'environnement
Mondialisation alimentaire, par David..
L'alimentation a subi la mondialisation au même titre que les autres secteurs d'activité, on peut aujourd'hui acheter un paquet de chips de la même marque dans tout l'occident. Economie d'échelle pour les industries agroalimentaires, uniformisation vers le pire (le modèle américain) des modes de consommation pour les consommateurs. Cet exemple s'applique à toute l'alimentation humaine. Au-delà des problèmes sanitaires générés par la course au profit et par des contrôles défaillants ou inexistants, je n'ai aujourd'hui plus aucune confiance en des entreprises — transnationales pour la plupart — qui, non contentes d'optimiser fiscalement leur activité au détriment des Etats et donc des peuples, semblent marcher main dans la main avec l'industrie pharmaceutique… En effet, quelle aubaine de pouvoir d'un côté rendre malade les consommateurs, et de l'autre leur proposer des produits pour lutter contre ces maux ! Je privilégie les circuits courts, aussi bien pour des questions environnementales que pour favoriser des entreprises à taille humaine qui font partie intégrante de la société et de son marché, taxe et emploi locaux inclus.
Une industrie néfaste pour la santé et l'environnement, par Pierre
Je ne leur fais plus confiance en raison d'un principe simple. Tout ce qui est produit à échelle industrielle est par essence conçu pour se conserver dans le temps et être vendu à la plus grande quantité possible pour maximiser le profit. Ces deux éléments impliquent dans les ingrédients du produit vendu : 1) des conservateurs ; 2) des ingrédients à base de sucre et glucose sous diverses formes, qui touchent une zone du cerveau favorisant la dépendance, exactement de la même manière qu'une drogue. Enfin, le packaging, non seulement est polluant pour l'environnement et l'océan en particulier, mais en plus pour l'homme (effets dévastateurs du bisphénol A et des phtalates sur la qualité du sperme de l'homme et malformations de nouveau-nés). Et ce alors qu'il existe des fournisseurs français de packagings 100 % biodégradables et écologiques, élaborés à partir d'algues en Bretagne dont on ne sait plus que faire ! Je ne me fournis que directement auprès des maraîchers, de mon potager et sur les marchés locaux. Question de principe et, surtout, d'éthique.
Des produits centrés sur le coût, par Philippe, 66 ans
Ancien PDG de trois usines agroalimentaires fournissant des fabricants de produits tels que pâtes, biscuits, charcuteries, et parmi les plus grands (Danone), je ne me souviens pas d'avoir jamais abordé autre chose que le prix. Bien sûr il y a des cahiers des charges, qui la plupart du temps ne sont d'ailleurs pas réalistes et servent uniquement de parapluie en cas de pépins, des certifications CEE, ISO, etc., qui ne sont que des bouts de papiers récompensant des procédures qui n'existent que le temps de leur obtention, mais en pratique, les usines, et même les plus grosses ne regardent que la ligne profit. Certains industriels, sous couvert de températures de cuisson élevées, n'hésitent pas à utiliser des produits périmés contaminés ou cent fois reconditionnés. Quand il y a un lot de matières premières avariées, il y a toujours plus d'acheteurs intéressés. Quand aux contrôles et aux fraudes, les services vétérinaires sont débordés, souvent inefficients, et surtout pas regardants. En dix ans, sur mes trois usines, je n'ai jamais eu un vrai contrôle, mais par contre beaucoup de déjeuners.
Appétits financiers, par Jean
Je n'ai absolument aucune confiance envers les marques de l'industrie agroalimentaire dont le seul but est de satisfaire leurs appétits financiers. Les consommateurs sont sciemment dupés, abusés et rendus captifs par les campagnes de "marketing" (c'est à dire de désinformation) toujours plus performantes et destinées à sanctifier les marques de l'industrie agroalimentaire. La bonne santé des consommateurs, la juste rémunération des producteurs, le respect de l'environnement sont incompatibles avec la logique d'augmentation des parts de marché et des bénéfices de l'empire agroalimentaire. L'étiquetage des produits ne vise en aucun cas à informer honnêtement les consommateurs, bien au contraire, et le lobby agroalimentaire œuvre pour que la réglementation lui soit la moins contraignante possible. En tant que consommateurs, nous avons le choix de ne pas contribuer aux effets néfastes de cette industrie, en modifiant notre approche de l'alimentation. Nous devons autant que possible prendre le temps de cuisiner nous mêmes nos repas en privilégiant les produits frais issus de circuits courts. Et pourquoi ne pas profiter d'un bout de jardin ou d'une terrasse pour faire un coin potager ?
Perte de notre patrimoine alimentaire, par Dominique, 32 ans
L'industrie agroalimentaire française est triplement coupable. Un, elle vend des produits frelatés, truffés de produits chimiques variés, emballés dans des plastiques polluants et dangereux pour la santé et la planète. Deux, elle détruit l'environnement en incitant l'utilisation de produits agricoles qui engendrent sa pollution, de la souffrance animale et atteint à la santé des agriculteurs et des riverains. Trois, elle détruit le patrimoine culinaire français, les savoir-faire, le bien-manger et fait son beurre en propageant l'obésité. Je suis très choqué de la collaboration soumise du pouvoir politique à ces industries alors même que notre pays est le plus talentueux en la matière. Vivent les petits producteurs, les cuisiniers et tous les réseaux alternatifs qui organisent la résistance face à cette industrie qu'il faudrait détruire à coup de taxes pour lui faire payer les conséquence sanitaires de son activité immorale.
RETOUR AU LOCAL ET AU BIO par Jean, 68 ans, La Roche-sur-Yon
Il est inutile de manger en février des tomates sans saveur ! Bien avant les scandales alimentaires, je m'étais rendu compte des arnaques : prix maintenus mais moins de produit (Prince…). J'avais aussi acheté des produits sous plastique : jambon blanc, mozzarella, etc. dont le paquet gonflait anormalement, mais aussi du fromage sans goût et d'autres articles avec trop de sel, trop de sucre. Le chorizo désormais bien trop pimenté et immangeable ! Les étiquettes ne résolvent pas les problèmes de qualité, et j'en avais assez de passer mon temps à lire des textes illisibles ou nébuleux. (Ndlr : incompréhensibles tout simplement et intentionnellement.) J'en avais assez aussi de remplir mes poubelles avec des plastiques de toutes sortes en me posant les questions de la santé et de l'environnement. Depuis quelques années je consomme local et je privilégie les produits frais et de saison. Il est inutile de manger en février des tomates bien rondes mais sans saveur. Depuis quelques années, je fais un jardin, et les légumes que je mange (à la saison) sont délicieux et sans comparaison possible avec ceux des hypermarchés. Je n'achète que les produits de base (farine, sucre, etc.) dans les grandes surfaces et surtout pas de produits de l'agroalimentaire. Non, ces produits sont mauvais ou sans goût, et je n'ai aucune confiance en leur qualité et leur effet sur la santé. Non merci, sans façon !
Mes légumes sont produits dans un rayon de 40 km, par Jean, 40 ans, profession libérale en Ile-de-France
L'industrie agroalimentaire n'est pas tenue de participer à notre santé. Son objectif premier est de développer son chiffre d'affaires. donc nous devons être très méfiant envers ses produits. Aujourd'hui, j'achète tous mes produits frais (légumes et fruits, viandes et fromages) au marché en sélectionnant des artisans de qualité et les circuits courts (dans un rayon de 40 kilomètres par exemple). Je me rends à présent au supermarché uniquement pour les achats de produits ménagers, quelques conserves (pois chiches par exemple), les biscuits, en prenant soin de toujours détailler les ingrédients (je fuis comme la peste la mention "arômes" et la ribambelle de colorants en E). En quelque sorte, je n'achète que les produits les plus simples ayant subi le strict minimum de mise en œuvre. L'essentiel des produits diffusés par l'industrie agroalimentaire est malsain pour notre santé. Il suffit, pour s'en convaincre, de détailler la liste des ingrédients. On n'imagine pas à quel point nos industriels sont inventifs en termes d'intrants chimiques alimentaires. Il y aurait un gros travail à faire sur l'étiquetage (ingrédients sains et malsains, traçabilité, empreinte carbone…) afin d'aider (éduquer ?) au mieux les familles. Je pense aux enfants.
Je mange bio depuis quinze ans, par François, Paris, 40 ans
Lorsqu'on sait que Rudolf Steiner avait déclaré en 1919 qu'une vache mangeant des protéines animales explosait son taux d'urate et devenait folle et que ce n'est qu'en 1999 que les farines funestes furent enfin interdites, on mesure le pouvoir de l'industrie agroalimentaire et de sa démarche définitivement meurtrière en ne pensant jamais au consommateur mais toujours à ses profits et aux dividendes des membres du conseil d'administration. Je cite cet exemple effarant mais tout le monde en connaît une bonne dizaine. Depuis quinze ans je mange bio et me désole de l'appauvrissement des goûts (toujours plus de sucre et de sel) et m'inquiète de l'état dramatique de la terre, de nos eaux, de notre air que l'agriculture intensive pollue toujours plus. Les conséquences sont connues, établies : maladies cardio-vasculaires, diabète, cancers… J'en veux à toutes les personnes qui ont de l'argent et qui pourraient acheter bio, augmentant ainsi la demande qui inciterait les agriculteurs à se convertir, donc modifieraient l'offre, de sorte qu'à terme, ce ne soient plus seulement 2 % du territoire cultivés mais bien davantage de superficies, afin que les personnes modestes puissent y accéder également, enfin, sans que l'argent soit un frein à leur désir de nourrir sainement leur famille. Je connais tous les argumentaires des «antibiologiques » ; aucun ne résiste à la force de « l'habitude » du consommateur ne désirant fondamentalement pas changer sa consommation !
CONSOMMATEURS VIGILANTS
Je suis devenu plus vigilant aux étiquettes, par Lionel, 44 ans, informaticien
En une dizaine d'années, je suis passé de la consommation automatique (je prends un produit, je pose dans le Caddie) à la consommation temporisée (je prends un produit, je lis l'étiquette, je valide ou non mon choix). Au fur et à mesure de mes lectures, des différents reportages télé, des scandales incroyables touchant aux industries agroalimentaires, ma sensibilité s'est accrue, ma curiosité également, ma révolte certainement un peu aussi. Je suis donc devenu plus vigilant. Ayant conscience que se passer de produits agroalimentaires serait difficile pour moi (j'ai néanmoins éliminé tous les plats cuisinés), je tente d'acheter plus intelligent en me basant sur les informations des étiquettes. Taux de sucres ou de gras saturés, arômes naturels ou artificiels, produit bio ou responsable, mes choix sont plus précis. J'ai été très désappointé lorsque Bruxelles a décidé de ne pas valider les mentions informatives selon le système du feu tricolore. Par ailleurs, je ne me leurre pas : ma prise de conscience et ma vigilance relative me permettent aussi de me donner bonne conscience. Je possède par exemple une machine Nespresso. Je savais parfaitement que ce café dit de luxe laisse une empreinte environnementale négative largement supérieure au café traditionnel. Et pourtant, je l'ai achetée…
J'ai retrouvé le lien avec l'animal, par Yann, 24 ans, Paris
J'ai eu une sorte de révélation il y a quelques mois en achetant du jambon dans un supermarché. En le prenant, je l'ai regardé et me suis dit : « Je ne vois pas le cochon, je vois le jambon. » Je n'ai plus de lien avec l'animal, le jambon est du jambon, pas du cochon. Pour la première fois, je me suis rendu compte que la facilité d'accès à la viande était tellement évidente que je ne l'avais jamais remise en question. Malaise. En me renseignant un peu, j'ai pu commencer à mettre des mots et des maux sur ce malaise ; il y a quelque chose de culturel dans la disponibilité et l'accès facile et à bas coût qui facilite la dépendance, l'achat compulsif sans réflexion. Face à l'opacité de l'industrie porcine (mais pas que porcine) un peu partout dans le monde, à ce qui arrive à en filtrer malgré tout, à l'étouffement des différents partenaires et la mainmise sur le marché, je me suis dit que je ne pouvais pas continuer de soutenir aveuglément une agriculture rendue folle par le productivisme et le rendement. Je suis devenu "végérisien", végétarien à Paris. J'applique le principe de précaution en n'achetant de la viande que quand je suis sûr de sa traçabilité et que je suis d'accord avec son mode de fabrication, c'est-à-dire quasiment jamais (Rungis, France, trop flou donc non). Mais quand je rentre chez mes parents en Bourgogne, c'est la fête ! Je redécouvre le plaisir de manger de la bonne viande en en mangeant beaucoup moins souvent.
L'immense pouvoir des consommateurs, par Jean
Le mauvais comportement des agro-industriels n'est plus a démontrer et le débat n'est plus là. Maintenant il faut avancer et passer de la dénonciation à l'action. Pour cela, chacun a un rôle à jouer sans forcément le savoir. Les consommateurs ne se rendent pas compte de l'immense pouvoir qu'ils détiennent en choisissant de consommer ou de ne pas consommer. Si tout le monde se met à ne plus acheter de mauvais produits, alors seuls ceux de qualité resteront, c'est la simple loi de l'offre et de la demande ! La solution viendra du porte-monnaie !
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/03/trust-agro-alimentaires-et-labos-une.html
Comment naquit le fou
Il était une fois une famille bien sous tout rapport, élégante et aimable... à condition de faire partie des ''leurs'' (comme ils disaient, c'est à dire de leur communauté) où cependant les mots voulaient dire ce qu'on voulait qu'ils disent et au moment où on le leur ordonnait, cela variait à l'infini. Ainsi une table pouvait être un éléphant et redevenir table -ou phoque- l'instant d'après. Même les choses variaient selon ce qui ''leur'' convenait (ou convenait à un seul, en principe le Chef, en principe le plus riche ou encore celui qui était copain avec ''Ari'' -un shtroumpissime de renom-) ; ainsi un acte pouvait-il devenir un autre -et tout le monde confirmait avec force-.. par exemple ''couper un arbre'' pouvait vouloir dire ''ne pas le couper'', (le préserver), ou ''parler en arabe'' pouvait vouloir dire ''parler en français'' etc.. Tous ceux qui s'attachaient bêtement au dictionnaire étaient considérés comme des incapables voire légèrement marteau. "Ils" étaient cependant relativement conciliants, il faut de tout pour faire un monde, quoiqu'évidemment ils auraient préféré être seuls sur terre (avec leur communauté).. mais il fallait bien quelqu'un/e pour s'occuper des bébés, laver la vaisselle, le sol et nettoyer les WC (car contrairement à ce qu'on aurait pu penser, ils faisaient caca).
Compliqué ? Non, entre eux, ils s'entendaient fort bien, du moins l'affirmaient-ils (évidemment, avec les mots, on ne pouvait jamais être sûr.) Mais lorsqu'un ''étranger'' survenait et s'y perdait, voire refusait de lâcher l'affaire et s'énervait -un bizarre, un excité- tout le monde lui tombait dessus. Pensez ! quelqu'un pour qui LES MOTS AVAIENT TOUJOURS LE MÊME SENS et qui persistait dans cette impensable assertion était très contrariant -on ne pouvait plus dire qu'on avait préservé un arbre si on l'avait abattu, qu'on avait gardé la bonne si on l'avait renvoyée.. Il fallait donc le virer, le décrédibiliser.
C'est ainsi que naquit le FOU.
Compliqué ? Non, entre eux, ils s'entendaient fort bien, du moins l'affirmaient-ils (évidemment, avec les mots, on ne pouvait jamais être sûr.) Mais lorsqu'un ''étranger'' survenait et s'y perdait, voire refusait de lâcher l'affaire et s'énervait -un bizarre, un excité- tout le monde lui tombait dessus. Pensez ! quelqu'un pour qui LES MOTS AVAIENT TOUJOURS LE MÊME SENS et qui persistait dans cette impensable assertion était très contrariant -on ne pouvait plus dire qu'on avait préservé un arbre si on l'avait abattu, qu'on avait gardé la bonne si on l'avait renvoyée.. Il fallait donc le virer, le décrédibiliser.
C'est ainsi que naquit le FOU.
Abattoirs, une éleveuse en colère (moi aussi)
mardi 1 mars 2016
lundi 29 février 2016
Familles... l'oubli par intermittence, une schizophrénie inculquée aux enfants..
Comment devenir schizophrène en ayant bénéficié d'une éducation normale (plutôt impec !)
A l'origine, il y a Marguerite, une femme d'exception.. qui eut deux enfants : une fille aînée, préférée dit-on, (ma mère), et un fils ensuite, plus fragile .. puis deux petits-enfants : moi, aînée (fille de sa fille) préférée dit-on ! et mon cousin, fils de son fils, plus jeune, plus fragile également.
Mais l'affaire commence et remonte en fait en 1945. La guerre est finie, mais certains manquent à l'appel. Ma mère et mon oncle ont 20-26 ans. Une réponse de ma mère (dont le fiancé est mort sous la torture) ... qui claque sec
Le ver dans le fruit ronge ... nidifie ... et recrute .. Ça va, ça vient ... car par ailleurs je (Léna) suis aimée semble-t-il .. (née après l'histoire -en 48-, je ne suis pas "responsable" .. mais petit à petit, par la suite, je le deviendrai!!) Phénomène étrange que celui de l'oubli intermittent et sélectif.. qui devient parfois définitif.
Ça va se compliquer avec des collatéraux recrutés.
__________________
.. et ça marche ! ça flambe... sauf que la haine qui pour Josette concernait essentiellement Lydie, chez Gilberte, (sa bru, la femme-support de son transfert), va s'accrocher à Léna, plus facile à atteindre. (Josette finira par suivre le mouvement ?) Métastases renforcées. Et Gilberte, un peu dépassée par la charge à porter, va à son tour s'aider (se servir) de sa fille (Léna est un assez gros morceau..)
(Voir articles suivants)...
C'est donc l'histoire d'une haine issue d'un très ancien passé -la guerre de 40- ... d'une femme contre sa belle-sœur (la Sultane de la famille) ... haine ensuite "oubliée" (ou plus exactement mise en stand by, le personnage étant hors d'atteinte) pendant toute une vie (anniversaires, fêtes, cadeaux, une famille normale, chaleureuse.. 65 ans).. et qui éclata enfin juste après la mort de l'objet haï (la Sultane) ... contre sa fille (moi). La mort de ma mère tout ce temps haïe avait été saluée par une fête nocturne bruyante dans un jardin jouxtant le mien.. afin que je ne perdisse rien cette nuit-là des éclats de rires et joyeuses blagues de convives un peu éméchés (dont la plupart ignoraient sans doute tout, à quoi bon les avertir, ça aurait troublé l'ambiance), la "Garden party" version cévennes.. (au 19 ième siècle, en Angleterre, une "garden party" chic est prévue dans un manoir campagnard, les invités, des hobereaux de la région, sont attendus dans une effervescence joyeuse... lorsque la jeune fille de la maison s'aperçoit que, juste à coté du cottage où la fête est prévue, la famille d'un jeune ouvrier agricole qui vient d'être tué dans un accident de moissonnage (notamment sa femme qui vient d'avoir un bébé) veille le corps .. Que faire ? Dans quelques heures la fête va tout envahir devant la masure endeuillée, dispute entre la jeune fille et sa mère qui refuse d'annuler, trop tard pour prévenir les invités en route.. (A leur décharge, ils n'avaient pas de portable, eux ! )
La haine fut ensuite répercutée (et démultipliée) sur et par des "innocent/es" (les collatéraux et leurs enfants) ... mais des innocents qui, épousant la Cause cachée mais consensuelle (Josette) puis Gilberte-Sonia en ricochet .. à savoir qu'ils avaient été honteusement mis à l'écart et défavorisés -quant à l'héritage- par l'aïeule circonvenue ou injuste, préférant sa fille... des innocents qui devinrent immédiatement coupables et souvent plus virulents que leurs parents (remontés qu'ils furent comme des horloges à longueur d'années) jusqu'au clash final (une intrusion violente dans mon domicile (traumatisée, je partis un an et demi loin de ces cieux troublés)...
Oui, famille, je vous hais.
Quand les causes d'une haine sont inavouables et elles le sont bien souvent... on leur en INVENTE D'AUTRES (y compris à soi-même, d'où l'expression SE MENTIR !) Ici Josette ne peut pas dire "je hais Lydie parce qu'elle m'a dénoncée auprès de son frère comme amie d'une collabo" (EXACT) ou pire "je hais Lena parce que je haissais Lydie (sa mère) et que je n'ai rien pu (ou rien voulu) faire contre elle, pour moi hors d'atteinte"..
Josette préférera {plus soft que Gilberte comme on va voir plus loin, (les séides sont toujours plus cruels que leurs donneurs d'ordre)} ... elle préfèrera dire : "je hais Léna (et/ou Lydie) parce qu'elle a été favorisée par sa mère dans la répartition des biens familiaux".. ce qui est ou lui semble plus tolérable et met (peut être ?) le public dans son camp : l'amie collabo est loin et ne reviendra jamais, trop heureuse d'avoir échappé au peloton.. et de toutes manières on parle peu de ces choses ("le passé est le passé") jusqu'à les faire réellement disparaître !!! Tandis que la terre et la maison familiale échue à Léna sont là, bien visibles.. objets de tous les prétextes de haine ..
De même, Gilberte ne peut avouer "je hais Léna parce que Josette (ma belle-mère) la hait et qu'il sied de suivre le mouvement voire de l'accentuer si je veux me faire bien voir de ma belle-mère fortunée et généreuse.." donc elle en rajoute et invente -mais ici, du pire-. ("Je la hais parce qu'elle a des relations incestueuses avec son frère putatif -mon mari-..") on invente du pire. Pistes brouillées pour la victime.
Idem, Sonia -fille de Gilberte- qui semble avoir été élevée dans la religion "Lydie est une .. (mettons) profiteuse, autoritaire etc... donc sa fille aussi... et en plus, (ça, c'est sa propre touche !) accusation d'inceste".. Sonia ne peut-elle avouer (quelles que soient l'énormité des accusations) "je la hais parce que ma mère la hait"... mais reprend à son compte (en aggravant encore les charges!) les chefs d'inculpation de Gilberte... qui elle-même à repris (en les adaptant à son intérêt) ceux de Josette... contre Lydie.
Ici, le cas est emblématique et extraordinaire (d'où l'intérêt de cette analyse décortiquée) parce que (par miracle) j'ai su, j'ai pu violer l'omerta (en écoutant Margot et Josée lorsqu'elles parlaient en patois!!) donc je SAVAIS l'origine de la géométrie !! ce qui est peu fréquent voire n'arrive jamais. En général ces choses, ces secrets de famille sont enfouis (pour le pire pour la victime et pour le meilleur des salauds). Donc je ne me suis pas (ou disons pas tout à fait) laissée piéger : non, "on" ne m'en voulait pas parce que j'aurais profité financièrement d'une injustice de Margot en faveur de sa fille chérie ma mère mais... pour tout autre chose... à laquelle je n'étais pour rien. Mais piégée je le fus tout de même un peu en raison du curieux phénomène de l'oubli... intermittent et sélectif.. et à la base de l'amour (que DE TOUTES MANIERES JE PORTAIS A JOSETTE).
* Frère et sœur étaient engagés maquis- résistance (plus modestement pour ce qui est de la sœur, ma mère)... tandis que Josette, commerçante de toujours, clientèle oblige, était plutôt sourires-à-tous y compris pour la cliente (devenue amie) compagne quasi officielle d'un occupant nazi en 40.
_________________
Question de fond : si j'avais ignoré l'histoire, qu'aurais-je pensé de cette haine qui, à la mort de ma mère, déferla (ou plutôt s'exprima) soudain contre moi avec une telle virulence? Que j'étais coupable, forcément.. mais de quoi? mystère mais quand on cherche (on se torture) on "trouve" .. coupable de quelque chose ! donc durablement traumatisée. Ce ne fut pas (trop) le cas : par chance je "savais" ou du moins j'avais fini par deviner ce "quelque chose" dont on ne devait pas parler et qui ensuite, longtemps après, (peu avant sa mort !) me fut confirmé directement par ma mère, c'était d'une simplicité biblique : ma tante Josette que j'aimais tant, belle, gentille, généreuse avait été l'amie proche d'une collabo avec laquelle elle prenait le petit déj tous les matins.
[Quand il ne fallait pas que les enfants comprennent, les deux excellentes femmes qu'étaient Marguerite (ma grand-mère) et Josée sa sœur passaient automatiquement en VO -en occitan-... si bien que mes oreilles se dressaient immédiatement ... et que petit à petit, je compris, et l'occitan et, plus important, ce que je ne devais pas savoir (!), du moins à demi car même en VO elles codaient un peu leurs propos. Cela donnait :
- Ce n'était pas de sa faute, cesse de parler de ça!"
- Bien sûr ! une collabo ! sa meilleure copine !"...
- Mais elle était si jeune... elle ne savait pas... elle ne se rendait pas compte de ce que cette femme... faisait... enfin... était... représentait.."
-Ah oui ? C'est toi qui dis ça Margot? 18 ans c'est l'âge où ton fils a pris le maquis ; lui, il savait.. Et au même âge, Josette, elle, ne savait pas ! Pauvre petite commerçante qui faisait son fric avec cette.."
-Bon, arrête! la guerre est finie maintenant, ils sont amoureux, heureux, ils ont eu David.. ça ne nous regarde plus à présent, c'est le passé.."
- Oh oui, comme c'est commode !! Un enfant, un fils, et le tour est joué. Je vais te le dire Margot, ça ne change rien à ce que sa mère a été l'amie d'une collabo... et David, je ne peux pas l'aimer comme j'aime Léna... Et ne me dis pas le contraire, ne fais pas ta commerçante, ton hypocrite, je sais très bien que toi non plus. Ah oui ? La guerre est finie... il faut oublier... ne pas ressasser comme je fais.. Ça dérange ! Tu oses dire ça, tu n'as pas honte? Et à propos, tu te souviens peut-être, le fiancé de Lydie, tu sais, ta fille... donc ton presque gendre.. comment il va, lui ? Il est ressuscité ? Ah non, suis-je bête, il est toujours mort, c'est idiot.. et tu dis qu'il faut oublier" etc etc..]
Donc... Un homme était mort qui aurait dû vivre... ma gentille tante toujours souriante avait eu une amie collabo ... ma mère et apparemment ma grand-tante ne pardonnaient pas... (mais Marguerite et bien sur Luc -mon oncle-, si).. je reconstituai le puzzle par morceaux, petit à petit (puis dans sa totalité, longtemps après.) Je compris à cette occasion que les "grands" n'avaient pas toujours raison contrairement à ce qu'ils assuraient aux "petits", la preuve : ils n'étaient pas d'accord sur la conduite à tenir.
Puis j'oubliais aussitôt : de telles vérités étaient trop dérangeantes : j'aimais tous ces personnages, certains presqu'à égalité. De la même façon, il n'est pas exclu que Josette aussi ait "oublié" de temps en temps sa haine (et de fait ait parfois apprécié Lydie, cette belle-sœur abhorrée... qui cependant était là lorsqu'il le fallait, lorsqu'il fallait aider son fils par exemple etc...) Une haine cachée certes mais intermittente. De même il est probable que j'ai tout de même été aimée... de manière tout aussi intermittente (car petit à petit la jalousie -je réussissais mieux que mon cousin à l'école- s'y mit). De même, j'oubliai ces discussions dérangeantes de Margot et Josée (que cependant je suivais à l'époque et même que je tentais de poursuivre par ailleurs, prêchant parfois -avec Lydie- le faux pour savoir le vrai -et ça marchait-) ... ces discussions qui ne me revinrent en mémoire que longtemps après... tout comme j'oubliai qui m'avait appris à lire (une interdiction absolue de Lydie) alors qu'à l'époque je le savais. (En quelque sorte, j'avais voulu l'oublier ... mais je l'oubliai au delà de ce que j'avais voulu!)
Ce type de phénomène est identique à celui qui, (pour ce qui est de graves maltraitances, surtout si elles ont lieu avant 3 ans) fonde les victimes à se taire... voire à nier, sincèrement.. ou non ! alternativement, de temps en temps (c'est à dire à une quasi schizophrénie !! -qui les décrédibilise-.) Tiraillées entre deux vérités d'évidence (ici : "ma tante est une femme que j'aime infiniment et qui le mérite"... et "ma mère et Josée ne se trompent jamais et méritent encore davantage, mon amour") la victime choisit l'alternance ! Un coup oui (ma mère a raison, -on ne peut se fier à Josette, menteuse et un peu hypocrite comme beaucoup de commerçants-)... un coup, non -ces histoires de collabo n'ont jamais existé, elle ne devait pas savoir, et puis zut, j'oublie- .. jusqu'au moment où l'oubli devient réel et total, définitif et irrattrapable (j'oublie que j'ai oublié).
J'ignore réellement (depuis combien de temps ? depuis toujours me semble-t-il, ce qui est forcément faux) qui m'a appris à lire alors qu'à l'époque où je savais qu'il ne fallait pas le dire, évidemment je le savais!
Suite ici
http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2016/01/attention-mecs-blackboules-danger.html
A l'origine, il y a Marguerite, une femme d'exception.. qui eut deux enfants : une fille aînée, préférée dit-on, (ma mère), et un fils ensuite, plus fragile .. puis deux petits-enfants : moi, aînée (fille de sa fille) préférée dit-on ! et mon cousin, fils de son fils, plus jeune, plus fragile également.
Mais l'affaire commence et remonte en fait en 1945. La guerre est finie, mais certains manquent à l'appel. Ma mère et mon oncle ont 20-26 ans. Une réponse de ma mère (dont le fiancé est mort sous la torture) ... qui claque sec
Le ver dans le fruit ronge ... nidifie ... et recrute .. Ça va, ça vient ... car par ailleurs je (Léna) suis aimée semble-t-il .. (née après l'histoire -en 48-, je ne suis pas "responsable" .. mais petit à petit, par la suite, je le deviendrai!!) Phénomène étrange que celui de l'oubli intermittent et sélectif.. qui devient parfois définitif.
Ça va se compliquer avec des collatéraux recrutés.
__________________
.. et ça marche ! ça flambe... sauf que la haine qui pour Josette concernait essentiellement Lydie, chez Gilberte, (sa bru, la femme-support de son transfert), va s'accrocher à Léna, plus facile à atteindre. (Josette finira par suivre le mouvement ?) Métastases renforcées. Et Gilberte, un peu dépassée par la charge à porter, va à son tour s'aider (se servir) de sa fille (Léna est un assez gros morceau..)
Allusions sordides, réitérées, à demi.. ça marche même du feu de Dieu ! Accusations non formulées... sous entendues, pires que si elles l'étaient (d'inceste).. |
Contre Léna (plus facile que Lydie mais tout de même un morceau) il faut recruter : les enfants sont là pour ça. Porte gonfalons de causes parfois abjectes dont ils ignorent tout, mais innocents. C'est l'idéal. Qu'on les utilise et qu'on obère en partie leur existence future n'est pas perçu ou passé au second rang : seule importe la haine à assouvir, impossible si ce n'est par un/e séide interposé/e, une enfant... même si c'est celle-ci qui in fine le paiera. Ainsi créé-t-on des ratages, des complexes, des névroses, des angoisses, des solitudes, des haines inappropriées -par exemple pour qui ne le mérite pas, au contraire, et parfois vice versa !- ; (on dit l'éducation ou les habitus inculqués). Certains enfants sont utilisés par leur parents (surtout dans des milieux où ceux-ci n'ont pu réaliser leurs talents..) comme char d'assaut, portant et étant censés pallier haut la main toutes leurs frustrations, leurs humiliations, leurs ratages, leurs drames, voir ici "le complexe de Stockholm". http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html Ça se poursuit donc et s'enfle avec d'autres acteurs au casting plus rudes .. à l'infini. Un besoin de haïr? (Léna est belle, cultivée et d'un milieu idoine, pas Gilberte.) Un manque de discernement (pour ce qui est de Sonia, la jeune recrutée, sous l'emprise de sa mère?) |
C'est donc l'histoire d'une haine issue d'un très ancien passé -la guerre de 40- ... d'une femme contre sa belle-sœur (la Sultane de la famille) ... haine ensuite "oubliée" (ou plus exactement mise en stand by, le personnage étant hors d'atteinte) pendant toute une vie (anniversaires, fêtes, cadeaux, une famille normale, chaleureuse.. 65 ans).. et qui éclata enfin juste après la mort de l'objet haï (la Sultane) ... contre sa fille (moi). La mort de ma mère tout ce temps haïe avait été saluée par une fête nocturne bruyante dans un jardin jouxtant le mien.. afin que je ne perdisse rien cette nuit-là des éclats de rires et joyeuses blagues de convives un peu éméchés (dont la plupart ignoraient sans doute tout, à quoi bon les avertir, ça aurait troublé l'ambiance), la "Garden party" version cévennes.. (au 19 ième siècle, en Angleterre, une "garden party" chic est prévue dans un manoir campagnard, les invités, des hobereaux de la région, sont attendus dans une effervescence joyeuse... lorsque la jeune fille de la maison s'aperçoit que, juste à coté du cottage où la fête est prévue, la famille d'un jeune ouvrier agricole qui vient d'être tué dans un accident de moissonnage (notamment sa femme qui vient d'avoir un bébé) veille le corps .. Que faire ? Dans quelques heures la fête va tout envahir devant la masure endeuillée, dispute entre la jeune fille et sa mère qui refuse d'annuler, trop tard pour prévenir les invités en route.. (A leur décharge, ils n'avaient pas de portable, eux ! )
La haine fut ensuite répercutée (et démultipliée) sur et par des "innocent/es" (les collatéraux et leurs enfants) ... mais des innocents qui, épousant la Cause cachée mais consensuelle (Josette) puis Gilberte-Sonia en ricochet .. à savoir qu'ils avaient été honteusement mis à l'écart et défavorisés -quant à l'héritage- par l'aïeule circonvenue ou injuste, préférant sa fille... des innocents qui devinrent immédiatement coupables et souvent plus virulents que leurs parents (remontés qu'ils furent comme des horloges à longueur d'années) jusqu'au clash final (une intrusion violente dans mon domicile (traumatisée, je partis un an et demi loin de ces cieux troublés)...
Oui, famille, je vous hais.
Quand les causes d'une haine sont inavouables et elles le sont bien souvent... on leur en INVENTE D'AUTRES (y compris à soi-même, d'où l'expression SE MENTIR !) Ici Josette ne peut pas dire "je hais Lydie parce qu'elle m'a dénoncée auprès de son frère comme amie d'une collabo" (EXACT) ou pire "je hais Lena parce que je haissais Lydie (sa mère) et que je n'ai rien pu (ou rien voulu) faire contre elle, pour moi hors d'atteinte"..
Josette préférera {plus soft que Gilberte comme on va voir plus loin, (les séides sont toujours plus cruels que leurs donneurs d'ordre)} ... elle préfèrera dire : "je hais Léna (et/ou Lydie) parce qu'elle a été favorisée par sa mère dans la répartition des biens familiaux".. ce qui est ou lui semble plus tolérable et met (peut être ?) le public dans son camp : l'amie collabo est loin et ne reviendra jamais, trop heureuse d'avoir échappé au peloton.. et de toutes manières on parle peu de ces choses ("le passé est le passé") jusqu'à les faire réellement disparaître !!! Tandis que la terre et la maison familiale échue à Léna sont là, bien visibles.. objets de tous les prétextes de haine ..
De même, Gilberte ne peut avouer "je hais Léna parce que Josette (ma belle-mère) la hait et qu'il sied de suivre le mouvement voire de l'accentuer si je veux me faire bien voir de ma belle-mère fortunée et généreuse.." donc elle en rajoute et invente -mais ici, du pire-. ("Je la hais parce qu'elle a des relations incestueuses avec son frère putatif -mon mari-..") on invente du pire. Pistes brouillées pour la victime.
Idem, Sonia -fille de Gilberte- qui semble avoir été élevée dans la religion "Lydie est une .. (mettons) profiteuse, autoritaire etc... donc sa fille aussi... et en plus, (ça, c'est sa propre touche !) accusation d'inceste".. Sonia ne peut-elle avouer (quelles que soient l'énormité des accusations) "je la hais parce que ma mère la hait"... mais reprend à son compte (en aggravant encore les charges!) les chefs d'inculpation de Gilberte... qui elle-même à repris (en les adaptant à son intérêt) ceux de Josette... contre Lydie.
Ici, le cas est emblématique et extraordinaire (d'où l'intérêt de cette analyse décortiquée) parce que (par miracle) j'ai su, j'ai pu violer l'omerta (en écoutant Margot et Josée lorsqu'elles parlaient en patois!!) donc je SAVAIS l'origine de la géométrie !! ce qui est peu fréquent voire n'arrive jamais. En général ces choses, ces secrets de famille sont enfouis (pour le pire pour la victime et pour le meilleur des salauds). Donc je ne me suis pas (ou disons pas tout à fait) laissée piéger : non, "on" ne m'en voulait pas parce que j'aurais profité financièrement d'une injustice de Margot en faveur de sa fille chérie ma mère mais... pour tout autre chose... à laquelle je n'étais pour rien. Mais piégée je le fus tout de même un peu en raison du curieux phénomène de l'oubli... intermittent et sélectif.. et à la base de l'amour (que DE TOUTES MANIERES JE PORTAIS A JOSETTE).
* Frère et sœur étaient engagés maquis- résistance (plus modestement pour ce qui est de la sœur, ma mère)... tandis que Josette, commerçante de toujours, clientèle oblige, était plutôt sourires-à-tous y compris pour la cliente (devenue amie) compagne quasi officielle d'un occupant nazi en 40.
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Le secret favorise toujours les agresseurs
Question de fond : si j'avais ignoré l'histoire, qu'aurais-je pensé de cette haine qui, à la mort de ma mère, déferla (ou plutôt s'exprima) soudain contre moi avec une telle virulence? Que j'étais coupable, forcément.. mais de quoi? mystère mais quand on cherche (on se torture) on "trouve" .. coupable de quelque chose ! donc durablement traumatisée. Ce ne fut pas (trop) le cas : par chance je "savais" ou du moins j'avais fini par deviner ce "quelque chose" dont on ne devait pas parler et qui ensuite, longtemps après, (peu avant sa mort !) me fut confirmé directement par ma mère, c'était d'une simplicité biblique : ma tante Josette que j'aimais tant, belle, gentille, généreuse avait été l'amie proche d'une collabo avec laquelle elle prenait le petit déj tous les matins.
[Quand il ne fallait pas que les enfants comprennent, les deux excellentes femmes qu'étaient Marguerite (ma grand-mère) et Josée sa sœur passaient automatiquement en VO -en occitan-... si bien que mes oreilles se dressaient immédiatement ... et que petit à petit, je compris, et l'occitan et, plus important, ce que je ne devais pas savoir (!), du moins à demi car même en VO elles codaient un peu leurs propos. Cela donnait :
- Ce n'était pas de sa faute, cesse de parler de ça!"
- Bien sûr ! une collabo ! sa meilleure copine !"...
- Mais elle était si jeune... elle ne savait pas... elle ne se rendait pas compte de ce que cette femme... faisait... enfin... était... représentait.."
-Ah oui ? C'est toi qui dis ça Margot? 18 ans c'est l'âge où ton fils a pris le maquis ; lui, il savait.. Et au même âge, Josette, elle, ne savait pas ! Pauvre petite commerçante qui faisait son fric avec cette.."
-Bon, arrête! la guerre est finie maintenant, ils sont amoureux, heureux, ils ont eu David.. ça ne nous regarde plus à présent, c'est le passé.."
- Oh oui, comme c'est commode !! Un enfant, un fils, et le tour est joué. Je vais te le dire Margot, ça ne change rien à ce que sa mère a été l'amie d'une collabo... et David, je ne peux pas l'aimer comme j'aime Léna... Et ne me dis pas le contraire, ne fais pas ta commerçante, ton hypocrite, je sais très bien que toi non plus. Ah oui ? La guerre est finie... il faut oublier... ne pas ressasser comme je fais.. Ça dérange ! Tu oses dire ça, tu n'as pas honte? Et à propos, tu te souviens peut-être, le fiancé de Lydie, tu sais, ta fille... donc ton presque gendre.. comment il va, lui ? Il est ressuscité ? Ah non, suis-je bête, il est toujours mort, c'est idiot.. et tu dis qu'il faut oublier" etc etc..]
Donc... Un homme était mort qui aurait dû vivre... ma gentille tante toujours souriante avait eu une amie collabo ... ma mère et apparemment ma grand-tante ne pardonnaient pas... (mais Marguerite et bien sur Luc -mon oncle-, si).. je reconstituai le puzzle par morceaux, petit à petit (puis dans sa totalité, longtemps après.) Je compris à cette occasion que les "grands" n'avaient pas toujours raison contrairement à ce qu'ils assuraient aux "petits", la preuve : ils n'étaient pas d'accord sur la conduite à tenir.
Puis j'oubliais aussitôt : de telles vérités étaient trop dérangeantes : j'aimais tous ces personnages, certains presqu'à égalité. De la même façon, il n'est pas exclu que Josette aussi ait "oublié" de temps en temps sa haine (et de fait ait parfois apprécié Lydie, cette belle-sœur abhorrée... qui cependant était là lorsqu'il le fallait, lorsqu'il fallait aider son fils par exemple etc...) Une haine cachée certes mais intermittente. De même il est probable que j'ai tout de même été aimée... de manière tout aussi intermittente (car petit à petit la jalousie -je réussissais mieux que mon cousin à l'école- s'y mit). De même, j'oubliai ces discussions dérangeantes de Margot et Josée (que cependant je suivais à l'époque et même que je tentais de poursuivre par ailleurs, prêchant parfois -avec Lydie- le faux pour savoir le vrai -et ça marchait-) ... ces discussions qui ne me revinrent en mémoire que longtemps après... tout comme j'oubliai qui m'avait appris à lire (une interdiction absolue de Lydie) alors qu'à l'époque je le savais. (En quelque sorte, j'avais voulu l'oublier ... mais je l'oubliai au delà de ce que j'avais voulu!)
Ce type de phénomène est identique à celui qui, (pour ce qui est de graves maltraitances, surtout si elles ont lieu avant 3 ans) fonde les victimes à se taire... voire à nier, sincèrement.. ou non ! alternativement, de temps en temps (c'est à dire à une quasi schizophrénie !! -qui les décrédibilise-.) Tiraillées entre deux vérités d'évidence (ici : "ma tante est une femme que j'aime infiniment et qui le mérite"... et "ma mère et Josée ne se trompent jamais et méritent encore davantage, mon amour") la victime choisit l'alternance ! Un coup oui (ma mère a raison, -on ne peut se fier à Josette, menteuse et un peu hypocrite comme beaucoup de commerçants-)... un coup, non -ces histoires de collabo n'ont jamais existé, elle ne devait pas savoir, et puis zut, j'oublie- .. jusqu'au moment où l'oubli devient réel et total, définitif et irrattrapable (j'oublie que j'ai oublié).
J'ignore réellement (depuis combien de temps ? depuis toujours me semble-t-il, ce qui est forcément faux) qui m'a appris à lire alors qu'à l'époque où je savais qu'il ne fallait pas le dire, évidemment je le savais!
Suite ici
http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2016/01/attention-mecs-blackboules-danger.html
dimanche 28 février 2016
samedi 27 février 2016
mercredi 24 février 2016
Abattoirs encore !!
Je passe tout le temps à coté de celui d'Alès. J'en suis malade à chaque fois. Il y a bcp d'accidents juste sur cette partie de la route. A croire que... avant hier, j'ai failli m'encadrer juste là. L'horreur absolue. On se sent impuissant. Hier j'ai vu (vers 11 h du soir) un convoi, un camion fermé énorme, avec un dessin de chevaux (discret, en petit) dessus sur une porte ... qui se dirigeait vers l'abattoir. Je l'ai suivi puis j'ai craqué... et bifurqué, épouvantée... j'ai tourné un moment dans Alès... et arrivée au rond point de sortie vers le Nord (vers Camont, juste avant) ... l'horreur encore : LE MÊME CAMION ÉTAIT LA.. Bizarre.. Donc ce n'était pas un transport d'animaux vers l'abattoir ? Avait-il eu le temps de décharger ? Non, je ne crois pas, il était énorme. Je ne sais pas. Je l'ai vu prendre à nouveau la rocade vers le haut.... direction l'abattoir encore. Le gus s'était trompé de route ? Possible, il n'est plus indiqué !!!! Angoisse.. pleuré tout le temps. je n'ai pas osé le suivre. Je l'ai vu disparaître sur le pont, dans le noir. J'espère que ce n'était pas "ça"... mais finalement... ça change quoi ? ce sera pour le prochain convoi... Tout à l'heure je vais partir et je crains encore de trouver un autre camion vers cet endroit. Bâché fermé avec un petit signe seulement, lourd, énorme, avançant doucement... de Pologne par exemple.. Je n'en peux plus de voir ça; D'autres aussi sans doute...
jeudi 18 février 2016
Égaux jusqu'au fond des chiottes !!!
Même dans le féminisme, l'antisémitisme a son comptoir ! on est égaux jusqu'au fond des chiottes !!!! Karim Bey
mercredi 17 février 2016
Réponse à Sylvère sur FB. Les ronds rouges.
Caritatif, militance, infiltration, masculinisme et corruption... une mesure à 5 temps..
Contexte: les infiltrés dans des groupes (par exemple féministes)...
Dans l'article envoyé par Sylvère, une féministe nous met en garde contre des "infiltrés" c'est à dire des "false activists" (des recrues -ferventes- d'une cause qu'en réalité elles cherchent à plomber). En le cas, un gus inflitré (je laisse !) après avoir été blackboulé dans un groupe par des féministes, parvient à créer lui même un groupe (en laissant entendre qu'il s'agit de plusieurs femmes!) sur lequel il règne en maître, brocardant et excluant quiconque n'était pas dans sa ligne -choisie intentionnellement hard et intenable de sorte qu'il se trouvait plein de malheureuses qui ne parvenaient pas à tenir le rang à agonir ou, mieux, à livrer à une meute de séides inconscientes - ... son but étant en fait de ridiculiser les femmes en les faisant combattre les unes contre les autres pendant qu'il comptait les points et distribuait éloges et mercuriales.. Un pervers.
Contexte: les infiltrés dans des groupes (par exemple féministes)...
Dans l'article envoyé par Sylvère, une féministe nous met en garde contre des "infiltrés" c'est à dire des "false activists" (des recrues -ferventes- d'une cause qu'en réalité elles cherchent à plomber). En le cas, un gus inflitré (je laisse !) après avoir été blackboulé dans un groupe par des féministes, parvient à créer lui même un groupe (en laissant entendre qu'il s'agit de plusieurs femmes!) sur lequel il règne en maître, brocardant et excluant quiconque n'était pas dans sa ligne -choisie intentionnellement hard et intenable de sorte qu'il se trouvait plein de malheureuses qui ne parvenaient pas à tenir le rang à agonir ou, mieux, à livrer à une meute de séides inconscientes - ... son but étant en fait de ridiculiser les femmes en les faisant combattre les unes contre les autres pendant qu'il comptait les points et distribuait éloges et mercuriales.. Un pervers.
Ma réponse :
Cela surprend toujours ... Et pourtant, on le sait, le caritatif ou la militance sont souvent une manière de poser (un faux self ? parfois).. de compendation... (je laisse) qui forcément attire les "empêchés" (ceux qui ont des comptes à régler par exemple, pour des mecs, avec les femmes, suivez ma pensée) et qui sont à la recherche d'une compensation par défaut) : corruption pour les plus pragmatiques et à la limite les plus sains ! exposition narcissique (parfois histrionique) directe ou en pochoir (c'est à dire par le biais de la dévalorisation d'autres autour d'eux faisant ressortir leur éclatante mugnificence) pour les plus malsains..
Un exemple récent : soit une femme qui dénonce la corruption (apparemment quasi généralisée ?) d'une organisation caritative connue à laquelle elle appartient comme bénévole... RÉSULTAT : ELLE EST AUSSITÔT VIRÉE !! Preuve ou indication que cette corruption a atteint -ou a été initiée?- au plus haut niveau de cette petite antenne de village? ... on ne sait pas encore mais on va le savoir bientôt, selon la manière dont la hiérarchie, mais cette fois nationale, va réagir...
... et soit un mec -un bénévole d'assez haut rang ou qui endosse le personnage (le sage dévoué décidé-décideur) ... soit donc un gus qui prête une écoute apparemment favorable et/ou bienveillante aux propos de la lanceuse d'alerte ... (mais qui, comme false activist, en réalité suscite ou aggrave la mise à mal de celle-ci -qui dérange toute l'organisation?-... et dans le sac, de ceux qui ont refusé de fermer les yeux, client/es ou autres bénévoles)... Un jeu dont la lanceuse d'alerte est dupe... au point même de convaincre d'autres de la bonne foi dudit...
Soit donc une cliente qui s'est plus ou moins laissée manipuler par une attitude de neutralité bienveillante cependant déplaisante, (attentiste sceptique, c'est la posture d'évitement typique des complices ou de ceux qui se situent toujours du coté où penche la balance : "je ne suis pas au courant -!- mais si c'est exact -sous entendu la corruption- je prendrai évidemment position ... mais il faut être certain etc... " et cela peut durer longtemps) soit donc une cliente qui, depuis que son "copinage" avec la lanceuse d'alerte mise à la "porte" -tout relatif qu'il soit!- fut connu, commenté, magnifié et surtout redouté, -elle est auteure-... est OUVERTEMENT traitée de manière odieuse*... celle-ci l'interpelle (à la suite d'un clash plus important -et plus "public"- que les autres) ...
Voici une réponse (agressive) hautement intéressante car tout à fait révélatrice du false self : "je ne prends pas position et ne comptez pas sur moi pour le faire" etc... (alors même que les faits étaient criants -et furent attestés ensuite par d'autres-). Dans ce cas la manip suscite ce que le manipulateur prétend précisément pallier. Typique du caritatif ou des professions sociales voire psy : devant l'énervement de la victime (suscité -mauvaise foi hypocrite sciemment attisée-) il lui est reproché... précisément son énervement (!!) cause de sa mise à distance méprisante (PAS QUESTION D’ÉCOUTER -NI A FORTIORI DE PRENDRE POSITION "en faveur d'une telle énervée..") ... énervée justement par les soins de qui cherche hâtivement à tout prix un prétexte pour justifier son refus de prendre position. Is fecit cui prodest? Peut-être... peut-être même pas. (Des sicaires aussi peuvent être bénévoles !!)
Soit donc une cliente qui s'est plus ou moins laissée manipuler par une attitude de neutralité bienveillante cependant déplaisante, (attentiste sceptique, c'est la posture d'évitement typique des complices ou de ceux qui se situent toujours du coté où penche la balance : "je ne suis pas au courant -!- mais si c'est exact -sous entendu la corruption- je prendrai évidemment position ... mais il faut être certain etc... " et cela peut durer longtemps) soit donc une cliente qui, depuis que son "copinage" avec la lanceuse d'alerte mise à la "porte" -tout relatif qu'il soit!- fut connu, commenté, magnifié et surtout redouté, -elle est auteure-... est OUVERTEMENT traitée de manière odieuse*... celle-ci l'interpelle (à la suite d'un clash plus important -et plus "public"- que les autres) ...
Voici une réponse (agressive) hautement intéressante car tout à fait révélatrice du false self : "je ne prends pas position et ne comptez pas sur moi pour le faire" etc... (alors même que les faits étaient criants -et furent attestés ensuite par d'autres-). Dans ce cas la manip suscite ce que le manipulateur prétend précisément pallier. Typique du caritatif ou des professions sociales voire psy : devant l'énervement de la victime (suscité -mauvaise foi hypocrite sciemment attisée-) il lui est reproché... précisément son énervement (!!) cause de sa mise à distance méprisante (PAS QUESTION D’ÉCOUTER -NI A FORTIORI DE PRENDRE POSITION "en faveur d'une telle énervée..") ... énervée justement par les soins de qui cherche hâtivement à tout prix un prétexte pour justifier son refus de prendre position. Is fecit cui prodest? Peut-être... peut-être même pas. (Des sicaires aussi peuvent être bénévoles !!)
Conclusion provisoire : la corruption dénoncée apparemment a gêné bien des gens, convaincus ou non..
Les infiltrés (masculinistes ou autres, -mais ce sont souvent des mecs et des mecs qui ont des comptes à régler avec des femmes-) sont des gens précieux (si leur manip est bien conduite) car ils attaquent là où on n'attendait pas.
*c'est à dire que des sbires diligenté/es par la petite hiérarchie en place se déchaînent contre elle, certes sans gravité (débilité évidente) mais agaçant.
*c'est à dire que des sbires diligenté/es par la petite hiérarchie en place se déchaînent contre elle, certes sans gravité (débilité évidente) mais agaçant.
Le jour où tout le monde parlera, ces choses n'arriveront plus
Et voilà mes amis, je vous laisse à présent... une vie entière en quelques images... qui 70 ans après claquent à la figure (les personnages n'étant même plus les mêmes!) !! Ou (restons concrets) voilà pourquoi j'ai passé une nuit dans ma voiture par 5 degrés il y a quelques jours (entre parenthèses il est inadmissible, impensable !! de laisser des gens dehors l'hiver, même ici : EN UNE NUIT, JE N'AVAIS PRESQUE PAS FIGURE HUMAINE, L'HORREUR, EN UNE NUIT SEULEMENT !!!! alors imaginons ceux qui y demeurent tout le temps !!! c'est tout simplement une torture. Ne pas dormir, sinon on risque de ne plus se réveiller... ne pas se laisser aller malgré la fatigue ... moi, j'avais la chance d'avoir mes chiens avec moi... bref, ce n'est pas grave... mais ce qui l'est est : 1 que d'autres vivent cela tous les jours et pire et 2 que....mes clefs se trouvaient juste à côté ... et leur détenteur refusait de me les donner... Bizarre ? Non. Un salaud ? Non. Pas vraiment. Responsable ? Même pas tout à fait. Coupable ? Pas totalement. Et moi ? Complètement extérieure => Pas de coupables (simplement nous rejouions le passé d'il y a 69 ans, la haine rentrée tout de temps -et même pas la sienne!! et même pas adressée contre moi !!!- explosait soudain... de lui... sur moi) ... et un presque crime. Familles.. je vous hais, désolée de devoir l'écrire, seule la réalité est révolutionnaire" comme dirait l'autre*.. (Lénine) ET CES CHOSES LA IL FAUT EN PARLER => LE SILENCE FAIT LE JEU DES BOURREAUX, DE L'INJUSTICE.... ET VRILLE ENCORE DAVANTAGE LES VICTIMES... MÊME S'IL N'Y A PAS VRAIMENT DE COUPABLE, DU MOINS DE COUPABLES VIVANTS. Le jour où TOUTES les victimes parleront, sans édulcorer ni exagérer, parleront simplement... cela ne se reproduira plus. ! ! http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/02/blog-post_15.html
Face book, le meilleur et le pire !
FB... on y voit des trucs bizarres... et d'autres excellents... une auberge espagnole en somme... (Hélène au pays des merveilles) "Être pour l'égalité homme/femme et contre la fin de la domination masculine, c'est chercher à renforcer les devoirs des femmes (sous prétexte fallacieux d'égalité) sans renoncer à ses privilèges de mec. Le but du féminisme ce n'est pas l'égalité, c'est l'émancipation de la domination masculine !" Excellent !! merci..
et puis juste avant... l'antisémitisme soft à visage d'ange...
et puis juste avant... l'antisémitisme soft à visage d'ange...
lundi 15 février 2016
Familles... une haine (indétectable) de 70 ans...
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2016/02/blog-post.html (l'article en entier)
Ou comment une haine vieille de 70 ans (!) se répercute sur l'enfant de la personne haïe (pas née à l'époque du drame) ... et éclate, portée, non pas par la haïsseuse primaire... mais par ses enfants (!) ignorant des faits.. Les hauts de Hurle vent? En un sens.
Saint Ambroix... un village un peu reculé des Cévennes.. Mon village... Celui de Marguerite, (ma grand mère maternelle) qui m'a gardée tant et tant... et sauvée du désespoir. Il y a 72 ans...
Josette était jeune et naïve il est vrai...
1944, avec précautions, il annonce à sa sœur... qu'il va l'épouser.. Il sait ou redoute sans doute la réaction. Et en effet !
Une phrase qui 60 ans après (alors que tous les protagonistes sont morts depuis longtemps) a sonné ensuite à mes oreilles .. Et m'a fait partir ..
Suite :
http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2016/01/attention-mecs-blackboules-danger.html
Ou comment une haine vieille de 70 ans (!) se répercute sur l'enfant de la personne haïe (pas née à l'époque du drame) ... et éclate, portée, non pas par la haïsseuse primaire... mais par ses enfants (!) ignorant des faits.. Les hauts de Hurle vent? En un sens.
Saint Ambroix... un village un peu reculé des Cévennes.. Mon village... Celui de Marguerite, (ma grand mère maternelle) qui m'a gardée tant et tant... et sauvée du désespoir. Il y a 72 ans...
Josette était jeune et naïve il est vrai...
Une phrase qui 60 ans après (alors que tous les protagonistes sont morts depuis longtemps) a sonné ensuite à mes oreilles .. Et m'a fait partir ..
Suite :
http://journalphilosophoque.blogspot.fr/2016/01/attention-mecs-blackboules-danger.html
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