samedi 21 novembre 2015

Cultures orientales, une autre forme de kamikazisme

Le problème des cultures orientales et/ou arabes, japonaises etc.. est la soumission inconditionnelle au clan et à la famille, et au sein de celle ci, la force écrasante de la hiérarchie (et du machisme). D'où ces réactions en chaîne : si UN SEUL dérive par exemple vers l'intégrisme et si s'est le "chef", fût-il autopromu, ou le chef d'un simple sous-clan, (c'est presque toujours un homme, frère aîné, cousin, beau-frère et ils le sont tous plus ou moins, du reste c'est ainsi qu'ils se nomment entre eux) les autres en principe suivent sans débattre de peur d'être exclus (comme toujours, la "masse" s'aligne sur le plus con.) C'est ainsi qu'on peut voir par exemple une ex cow girl fêtarde, marrante, rapeuse, fofolle sympa.. se faire plus ou moins kamikaze sans rien connaître à la religion et sans qu'on n'ait rien vu venir ; un homme amoureux trahir et laisser partir (voire l'y contraindre) la femme qu'il aime parce que, ne faisant pas partie de la communauté, elle (et lui avec) est harcelée par les frères aînés, beaux-frères, cousins, matri ou patri arches, collatéraux etc.. et en 45 des kamikazes (de jeunes mariés pour certains) se précipiter sourire aux lèvres vers une mort affreuse. La religiosité va de pair avec cette soumission au chef.. car au bout de la chaîne il y a Dieu.. mais la soumission la transcende : même au sein de groupes relativement libéraux dont certains membres "détachés" se sont laïcisés (au cours d'études, de contacts extérieurs), ceux-ci  quelqu'ils soient se soumettront tout de même sans broncher au chef... quelqu'il soit : une agrégée de physique, à un ignorant qui lui fait la leçon ; un militant cultivé ou une thésarde en philo, à un inculte qui lui "explique" la religion, fautivement s'entend etc... L'individu ne compte pour rien, il n'est qu'un outil aux mains d'un autre, lui même outil etc..

Il y a plusieurs formes de "kamikazismes" et la forme explosive visible n'est que l'aboutissement extrême d'un chemin en pente déjà tracé mais que de l'extérieur dans les broussailles on n'avait pas deviné. L'homme qui en public fait corps avec la meute (son clan et les chefs de celui-ci, beaux frères aînés) qui accable la femme qu'il aime (une out sider) est un kamikaze. Il perd, non pas la vie mais celle qu'il aime, ses enfants et au passage son âme. Il consent à se détruire pour un clan qui du reste ne lui en saura aucun gré, c'est normal. Ce phénomène est celui de l'auto destruction, spirituelle, affective (mais ici non physique) voulue et sans aucun bénéfice si ce n'est celui, mythique, d'appartenir à un clan.. que par ailleurs ils honnissent. Pour Robert mon mari.

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