vendredi 29 janvier 2016

Attention mecs blackboulés danger !!!



Pour les copines... Attention mecs blackboulés, danger, toujours !!! 
Un exemple... entre mille...
Selon qu'il tente des "approches" (comme on dit joliment!) sexuelles ou affectives (en général les secondes lui servent à faire passer les premières) ou PAS (c'est à dire lorsqu'il a enfin pris conscience qu'il était définitivement débouté -ça peut prendre... un certain temps !!! -) l'attitude d'un mec peut varier de zéro à l'infini (de la sollicitude excessive parfois sympa mais parfois pesante... à la cruauté, la jubilation à peine cachée de vous voir dans la merde -relative- ... voire de vous y mettre directement ou non... jusqu'au refus d'un SIMPLE GESTE pour vous en tirer*.)
Curieux ? Non. Souvent chez les mecs, le désir sexuel (appelé amour, c'est le comble !!) ne signifie qu'extension égoïste de sa propre vanité -et/ou jouissance- et... si celle-ci se trouve (brutalement, selon eux, même si cette "brutalité" a mis deux ans à s'exprimer avec toutes les précautions-explications d'usage possible pour ne pas blesser!!) annihilée alors c'est l'autre face qui s'exprime sans le moindre complexe (!)..
* En le cas, les clés (d'une serrure super costaud et la porte idem, ils savaient construire autrefois) volées-saccagées... dont le double se trouvait chez le gus... qui a refusé de le fournir !! D'où tentative de.... démolir une cloison (la porte résistait !!!) grande échelle etc... puis bref... passons. Un jour de boulot REDITE, LE DOUBLE SE TROUVAIT A TRENTE MÈTRES DE LA. Imprudemment chez le gus. J'ai dormi une nuit et demi dans ma voiture. Ceci juste pour dire mes amies : méfiez vous de l'amour haine même lorsqu'il n'y a jamais rien eu entre vous et un gus lambda, mais un "rien" qui dort et le ronge sous l'apparence d'une cordialité superficielle voire pesante .. méfiez vous de la vengeance prête à bondir devant l'humiliation que vous lui avez infligée (et dont vous n'avez même pas eu conscience, mettons que les relations étaient de toutes manières impossibles pour diverses raisons, différence d'âge, ou .... plus ou moins incestueuses)

jeudi 28 janvier 2016

Attention mecs blackboulés !! toujours !

Pour les copines... Attention mecs blackboulés, danger, toujours !!! même longtemps après.

Selon qu'il (ils) tente des "approches" (comme on dit joliment!) sexuelles ou affectives (en général les secondes lui servent à faire passer les premières) ou PAS (c'est à dire lorsqu'il a enfin pris conscience qu'il était 
définitivement débouté  -ça peut prendre... un certain temps !!! -)... l'attitude d'un mec varie de zéro à l'infini (de la sollicitude excessive parfois sympa mais d'autres fois pesante... à la jubilation à peine cachée de vous voir dans la merde -relative- ... à laquelle il vous conduit par le refus d'un SIMPLE GESTE pour vous en tirer*.) Curieux ? Non. Souvent chez les mecs, le désir sexuel (appelé amour, le comble !!) ne signifie qu'extension égoïste de sa propre vanité -jouissance- et... si celle-ci se trouve (brutalement, selon eux, même si cette "brutalité" a mis deux ans à s'exprimer avec toutes les précautions-explications possibles pour ne pas blesser!! ) annihilée alors c'est l'autre face qui s'exprime sans le moindre complexe (!).. 


* En le cas, clés d'une serrure super costaud (et la porte idem, ils savaient construire autrefois) perdues -à dire vrai, plutôt volées- ... dont le double se trouvait chez le gus... qui a refusé de les fournir !! Tentative de.... démolir une cloison (la porte résistait !!!) grande échelle etc... puis bref... passons. LE DOUBLE SE TROUVAIT A TRENTE MÈTRES DE LA. Imprudemment chez le gus. J'ai dormi une nuit et demi dans ma voiture. Juste pour dire : méfiez vous de l'amour haine même lorsqu'il n'y a jamais rien eu entre vous et un gus, un "rien" qui dort sous l'apparence d'une cordialité superficielle ... la vengeance prête à bondir devant l'humiliation infligée (dont vous n'avez même pas eu conscience.)

Muflerie, servilité et petits crimes en famille. Le cul, toujours..




La différence voire l'opposition des attitudes envers nous des hommes selon qu'ils sont implicitement "demandeurs" (directement ou non) de prestations sexuelles -ils disent "amoureux"- et lorsqu'ils ne le sont pas ou plus (ayant compris que c'était loupé ou renoncé d'eux-mêmes) est absolument effarante : du zéro à l'infini. Celui qui squattait chez vous tous les soirs, toujours à l’affût d'un service (prétexte) à vous rendre (que la plupart du temps vous ne lui demandiez pas et qui parfois, ponctuellement, pouvait même être gênant) va, dès qu'il a pris conscience que ses projets sur vous étaient sans aucun espoir, (il lui a fallu en principe un peu de temps car il pensait à un caprice de votre part, pensez, laisser passer un mec comme lui !!!  !!! un aussi petit personnage que vous! cela, il ne pouvait le concevoir..).... vous refuser un minime et INDISPENSABLE service (mettons que vous ayez déposé le double de vos clés chez lui -puisqu'il "passait" chez vous comme si c'était chez lui-!!! et qu'on vous les ait volées, d'où impossibilité pour vous d'ouvrir la porte)... n'ignorant pas que vous allez devoir passer une nuit (ou deux) dans votre voiture en attendant le serrurier (non, on n'est pas à Paris et les urgences, soit médicales soit de serrurerie, mettent ... un certain temps !! ici, au minimum deux jours !!) 

Le refus fus net et... disons presque franc (alors qu'il n'était demandé ici que d'attendre en un lieu convenu -le domicile dudit- (où il se trouvait !) passer ses clefs et une heure après, les réavoir, le trajet -minime- étant évidemment du fait de la requérant/e seulement désireuse de récupérer les siennes "prêtées".)

 Stupéfiant compte tenu de l'attitude passée dudit qui, lui, s'autorisait, sans même demander, à venir y compris en votre absence, dormir (idem) etc. A ce stade, c'est plus qu'un refus de service mais quasiment de la non assistance à personne en danger (il fait froid -pas très, mais humide- dehors, heureusement les chiens réchauffent). Ici on passe donc directement (et le cas semble fréquent) d'un "amour" un peu (voire très) encombrant à une haine masquée, puissante et inattendue. Relativement. De fait, elle était primordiale mais inapparente..

dimanche 24 janvier 2016

Quand l'espoir est totalement perdu


Quand l'espoir est totalement perdu
(Totalement)
Il reste... ce qui demeure.. L'apyre..
Un souffle de printemps au milieu de la nuit
Une caresse sur la joue d'un bambou aimant 
Le soleil luisant qui s'est enfin levé.
Au dessus du Cèdre en bas  
La terre qui pour moi se réjouit ..
Poubelles fouillées pour trouver l'or et la chaîne
Feuille à feuille, attentivement..
Et on trouve !! pas ce qu'on voulait, parfois mieux ..

C'est l'espoir entretenu, cruel, le vain espoir qui torture
Et sa disparition qui soulage et guérit. 
Plus de fille, plus de mari, plus -ou si peu- de fils, 
Et à présent, plus (ou pas) de petite fille.. 
De foyer ou presque... 
Plus rien ? Non : ceci n'est/était rien.
J'ai gagné... tout le reste occulté.  

No grandaughter for me

These bloody days had broken my heart,
My lust, my joy will then depart..
My son away my grandaugther so far
I can't take in my arms..
Nevermore, nevermore will be as every times
A cursed gramother in waiting line:
At glimpsy theatre, no chair
For her.
These holly days had broken my lure,
Mind too much upset, body relays to cure...
(As Kafka said)..
Bad mother, no gramother..
A tale full of sound and fury
So I retreat for ever
And with my love, may be
My pain will disapear..

mardi 12 janvier 2016

Ostracisme, effet pervers (somatique..)







Article associé (le syndrome de Stockholm)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/12/httpfemmesavenir.html

Note liminaire.
Je ne suis pas psy et (bien que parfois perçue comme une philosophe de la psy, cf "Secret de famille")... et même pas très en phase avec ceux-ci, (psychiatre et psychologues confondus).. ou plus exactement avec leur "discipline"... Mais justement, voici une expérience relativement à contre courant des idées anti psy (entre autres) de mon livre... intéressante pour cela : une sorte d'addenda à rajouter à la prochaine réédition s'il y en a une.. Qui donc peut servir à beaucoup.
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Premier paramètre à tenir en compte : je suis donc une Asp, certes assez bien compensée mais cela demeure : comme la couleur des cheveux (ou des yeux) on peut la changer avec des colorants (ou des lentilles) mais la repousse demeure et doit être sans cesse reprise.

Deuxième paramètre : comme beaucoup d'Asp, je suis aussi une intello (pour simplifier).. et ici dans un milieu qui en majorité ne l'est pas vraiment. De fait utile, (lettres, articles, recherches diverses, explications, souvent juridiques, animaux etc..) estimée .. mais.. mais quoi ? suscitant parfois l'agressivité, soit directe (très rare) soit indirecte, (hypocrite).. qui met encore plus mal à l'aise ou, selon l'humeur, fait rire* ; pourquoi? Je l'ignore, comme le Dieu du micocoulier qui là dessus n'a pas pu m'aider.

Hypothèse : aider les gens (même si c'est réciproque) est-ce parfois, selon la triste formule, s'en faire des ennemis, (pour certains du moins) ? Habitus pathologique des démunis éidétiques et/ou économiques conditionnés par le système à s'écraser devant leurs exploiteurs (dont ils ont peur, y compris sans le moindre objet) et tacler ceux qui ne représentent pas de danger (parfois plus faibles qu'eux.. ou qu'ils considèrent comme tels).. voire même, à l'autre bout, ceux qui, mieux armés socialement/intellectuellement essayent, (si peu que ce soit), de les aider. (Inversion des affects et des comportements requis, banale.)

Autre paramètre : les valeurs étant différentes dans les deux umwelts, une aide (ou un simple service) peuvent tout simplement ne pas être perçus, et vice versa (par exemple le travail intellectuel n'est souvent pas considéré comme tel ... ou au contraire survalorisé mais de manière controuvée tout aussi mal évaluée et gênante). Bref en un mot on peut se faire exploiter, ce qui n'a pas d'importance si ce n'est pas associé à une mésestime (mais ça l'est presque toujours.)
Qui a été rangé/e dans la case "personne 'ami/e' éventuellement prestigieux/se (?) mais surtout sans danger" (l'amitié a parfois été un peu forcée), devient vulnérable : contre lui, très vite, tout sera permis car il n'y aura pas de rétorsion. Ceux qui sont depuis toujours écrasés de travail, de soucis, d'angoisses (jusqu'à la maladie) et d'injustices, qui se sentent inférieurs et nus dans un monde hostile et impitoyable (envers eux) semblent avoir épuisé leur stock de résistance à la peur.. si bien que lorsqu'un individu peut être classifié comme 'sans danger'**, le repos qu'il représente est propice à tout débordement. Il n'est plus vu (l'a-t-il jamais été?) comme un individu mais comme un objet. Parfois utile, parfois non (voire pesant). Le beurre et l'argent du beurre en somme. Ces individu/es, sont souvent recherchés, consciemment ou non  .. puis, chose faite, devant la peur d'autres, (eux, "redoutables") une peur qui en fait ne les quitte jamais, leurs recruteurs peuvent se lâcher contre eux sans mesurer la contradiction et les dégâts occasionnés... (qui, malgré des professions de foi controuvées, leur importent peu, exemple tacler quelqu'un en ajoutant "mais je l'aime bien quand même"). Ajoutons aussi que, les codes n'étant pas les mêmes, ils peuvent sans en avoir conscience tenir des propos et/ou adopter des postures déplacées et blessantes qui leur semblent naturelles.

Le système tourne rond : il faut donc garder la distance et ne pas déroger, mais ce sont ses victimes elles-mêmes qui, CONTRE LEURS INTÉRÊTS, conduisent à la conformité ceux qui tentent de briser les cadres (ce qui ne peut que les aider) alors même qu'ils les ont, eux, sollicités. Peut-on reprocher aux bourges leur fermeture, leur arrogance, leur dureté.. et l'ostracisme méprisant en général dont ils frappent ceux qu'ils considèrent comme 'inférieurs' ? (Oui, mais quel confort !) Note : le phénomène est surtout sensible dans des lieux de faibles dimensions.

* Voir image..
** Un/e qui redoute son patron/son proprio filou/les huissiers/les administratifs impitoyables des impôts etc... va, au cours d'une crise d'énervement reliée à quelques avanies qu'ils lui ont fait subir (ou qu'il/elle redoute) ... s'en prendre ... à celui/celle-là même qui l'a aidé/e contre eux ! Et réitérer ensuite en plus virulent sans le moindre scrupule (à vrai dire peut-être sans en avoir conscience ?) ... y compris si celui ou celle-ci est lui-même, à ce moment-là dans une situation traumatique de faiblesse relative ... ceci au moment même où il/elle l'apprend ! Inélégant ? Oui.. mais c'est aussi une question de codes acquis : quelqu'un/e qui a toujours connu (y compris dans son environnement proche) cette forme de socialité ne voit aucun mal à la copier, à se défouler sur une personne qu'il n'a pu atteindre auparavant et qui à présent semble à la fois à sa merci.. et inutile, qu'elle l'ait été dans le passé n'y change rien. (Là dessus, la classe ouvrière -ou démunie intellectuellement- n'a rien à envier aux bourges affairistes... sauf qu'elle est souvent moins habile.) (!)

Redite, les habitus n'étant pas les mêmes, ils peuvent alors candidement adopter des attitudes, tenir des propos blessants et/ou odieux voire hypocrites à très grosses ficelles : les codes qui dès l'enfance inculquent aux jeunes "héritiers" un actorat souple et sophistiqué peu 'visible', ils ne les possèdent pas. Cf : "Le complexe de Stockholm", lien.
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Pour résumer, la cordialité excessive du début qui est souvent le fait de telles relations, lorsque la cible est 'ferré/e', 
se transforme par petits coups insidieux en prise de pouvoir intempestive : plus de 'mercis' (alors qu'auparavant ils étaient débités en chaîne).. puis même plus de reconnaissance -au sens strict du terme- etc.. (par exemple un document envoyé en mail n'est même pas ouvert.. "je n'ai pas eu le temps"!)... comme si le requis et le requérant s'inversaient ! De ça de là, une maladresse gênante, un objet laissé choir sur un ordi EN MARCHE (sans la moindre demande d'excuse).. une autre.. (idem)... et voilà que petit à petit, à bas bruit, le malaise s'installe sans qu'on ne ressente quoique ce soit si ce n'est une gêne sourde... qui augmente tout de même. Bizarre.. "Bof.. rien d'important" (d'autant que d'autres semblent impavides).. et cela perdure et s'accroît. Ici on reçoit des signaux contradictoires qui troublent un peu, rejet, hostimité (je laisse) et cordialité..

... ceci jusqu'à l'épuisement (mais, redite, dont on n'a toujours pas identifié la cause POURTANT ÉVIDENTE et l'importance traumatique du phénomène .. si ce n'est par des réactions PHYSIQUES, (en le cas un malaise) ... et enfin, on en arrive au rejet "franc" (enfin... presque, voir image). Perversion? Innocente? Peut-être. Candidement hypocrite parfois. (Image.)

Conclusion : la mixion (je laisse !) des castes est périlleuse voire parfois impossible (surtout dans un lieu étroit dans tout le sens du terme.) Du fait même des exploités.

Ce qui importe ici est qu'on n'identifie pas la cause du malaise surtout si je "jeu" est bien mené.. et même dans le cas inverse (l'hypocrisie est plus ou moins détectable selon les habitus culturels et évidente dans certains cas).. ou pire, on l'identifie a contrario (la cause étant perçue comme remède -ce qu'elle est en un sens-, phénomène qui ressemble curieusement à celui de la drogue et de l'addiction) d'où le cercle vicieux qui à chaque tour plonge sa victime un peu plus au fond du gouffre..
Ou encore, on effectue un diagnostic erroné (comme un médecin devant un cas difficile... et du reste, sur ce plan, c'est NOUS NOTRE MEILLEUR MEDECIN : combien ont-ils été drogués d'antidépresseurs toute leur vie faute d'avoir pu comprendre les causes ou du moins le déclencheur de crises d'angoisses ou de leurs simples prémisses .. parfois confondues avec une (autre) pathologie, qui de même a fondé le malade à ingurgiter d'autres médocs dont il n'avait pas besoin, souvent toxiques.. etc à l'infini.) Ce pour quoi ce texte est écrit.

Dans le cas cité, j'avais pensé à une allergie au café (faux, même si cela n'a pas arrangé les choses) ; à des produits d'entretien désinfectants généreusement déversés dans une salle de café (et restaurant!) fermée. Idem. Une dénutrition? Exact dans mon cas... sauf que l'anorexie (inconstante) elle-même provenait de l'angoisse (légère).. Mais d'où provenait l'angoisse ou plus exactement ses prémisses? Un stress évidemment, (le maître mot !) ici familial.. d'où une fatigue accumulée, (le stress étant un gigantesque dévoreur d'énergie). Un ami médecin m'avait diagnostiquée en dépression cataclysmique, or, on l'a vu, c'est précisément dans ces périodes de faiblesse (provisoires ou non) donc de vulnérabilité (reliées ici non à un dysfonctionnement individuel mais à des événements extérieurs éminemment traumatiques!) que l'on subit les attaques de ce type. La troupe attaque toujours le plus faible de la horde. (Reste l'effet synergie de tous ces facteurs accumulés.)

Conclusion (qui va à l'encontre de "Secret de famille") : un malaise PHYSIQUE peut provenir de tous ces éléments conjugués dont la pierre angulaire est cependant le rejet NON PERCU ... C'EST A DIRE REFOULE qui nous taraude d'autant plus (impossible de l'analyser puisqu'il n'est pas ou à peine vu)... une situation qui nous met sans la moindre concience à la limite de la crise d'angoisse et immédiatement FACE A SES PREMISSES affolantes (notre intellection ne fonctionnant pas au mieux).
(Note : dans cette situation, je l'ai été 20 ans autrefois -suite à un autre rejet, mais celui-là, raciste).

Pire, lorqu'on identifie le phénomène a contrario, (on prend sa cause pour son remède !) il peut devenir dramatique. Et, contrairement à ce que l'on croit*, il est facile de se fourvoyer : exemple, "spécialiste" de la psy (!) je l'ai récemment subi (?) quelques mois SANS L'IDENTIFIER : seul mon corps m'a donné l'alerte (par un malaise PHYSIQUE !)

*Après coup, lorsqu'on met les choses à plat, on se demande comment il est possible que l'on n'ait rien vu : lorsque le diagnostic d'une pathologie est posé, vérifié (parfois trop tard, 
sur la table d'autopsie) .. après coup, il semble toujours évident! Ou dans une enquête policière  lorsque le coupable est identifié. Comment ne l'a-t-on pas vu!! Facile après coup. Il en va de même en psy.

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A présent, de l'autre coté, voyons les causes déclencheuses les plus fréquentes. Multiples, inconnues et parfois inconnaissables.
1 La première est le racisme.. On ne vous en veut pas parce que [....] mais simplement d'être, (juif, arabe, roux, non juif etc..) (Cf Elie Wiesel).
2 l'ostracisme simple, multiforme (on vous en veut d'être trop performant/e -ou pas assez- ; trop favorisé/e physiquement -ou pas assez- ; trop riche -ou pas assez- ; du Midi -ou du Nord-... les variations sont infinies..) Comme dans le phénomène du racisme, on vous en veut simplement d'être. L'erreur est de chercher la raison de cet ostracisme : cela nous plonge à l'infini dans la culpabilité, renforce le malaise... etc.. Chercher une raison suppose qu'il y en a une (sous entendu de logique, d'explicative... et sous entendu, reliée à quelque dysfonctionnement drastique de la victime..) Non !
3 Les causes matérielles et ou économiques (surtout chez ceux qui font profession de vendre). On vous en veut de ne pas consommer assez (ou ce qu'il faudrait), par exemple de ne pas boire, de ne pas jouer etc..
4 les causes politiques (les plus nobles) : on vous en veut de dire les choses, de persister, d'être un/e lanceur/euse d'alerte, (parfois à un niveau totalement dérisoire par exemple d'avoir averti un consommateur de la proximité d'un jeune délinquant confirmé lorgnant ostensiblement sur son sac). Parfois (glauque!) des briefings perso 
de la part de petits hiérarques (avec menace/récompense) contre qui sent le soufre et le fagot expliquent en sous main les "raisons" d'un soudain ostracisme. 
5 Les causes sexuelles. (Il sera toujours plus "pardonné" à un homme qu'à une femme.)

La solution ? le savoir, c'est tout!!! Et n'en tenir aucun compte (quand c'est possible). Car c'est la vulnérabilité qui génère l'accroissement de la violence (le rejet constitue une violence certes blanche mais plus traumatique parfois car non détectable). En revanche, si on passe littéralement dessus, les flèches tombent au sol et, devenus inutiles, les tirs cessent. C'est l'avantage d'être un/e Asp: rentrer dans leur bulle pour eux est parfaitement naturel (ce qui explique qu'ils supportent beaucoup.) C'est en sortir qui ne l'est pas !

Note : c'est lorsque (rarement dans mon cas : je suis assez bien compensée mais garde toujours une distance symbolique et curieusement invisible) un Asp baisse la garde, parfois un peu forcé (embrassades, bien qu'ils détestent être touchés, mais qu'ils acceptent ; tutoiement, idem etc...) c'est lorsqu'ils laissent donc éclater leur bulle (par ces postures dérangeantes qu'ils ont acceptées) que survient le choc d'autant plus traumatique. Avoir laissé désintégrer la "membrane virtuelle" qui les protège, surtout si on pouvait petit à petit deviner à sa posture que le requérant n'était pas en phase (c'est souvent le cas).. est une lourde erreur. (Rare.) Je ne la regrette pas car elle m'a permis de comprendre que je me trompais : le corps aussi et peut-être surtout (?) révèle, et une crise d'angoisse ou ses prémisses peuvent être simplement le fait d'un malaise inidentifié MAIS TOTALEMENT EXTÉRIEUR. (Du moins directement, en le cas la pseudo dépression reliée à un problème familial ayant généré une faiblesse, elle même ayant accentué l'ostracisme subi (sans qu'on en ait conscience) depuis (?) jusqu'à l'apyre (c'est à dire le malaise).

Note : cela peut aussi survenir lors de revers de fortune, comme dans les cours royales aux multiples intrigues, une personne ayant été utile devenant ensuite inutile voire funeste (on a le même phénomène si la personne est dans le collimateur de petits hiérarques qu'elle dérange et qui tentent de creuser 
un fossé autour d'elle). Exemple, dans "le syndrome de Stockholm", Adèle s'attaque à Léna juste après la mort de Lydie (la mère de celle-ci, la Sultane de la famille, redoutable, qui la tenait à distance car elle avait percé à jour son arrivisme sans états d'âme) et après son divorce (la disparition d'un mari qu'Adèle trouvait prestigieux) : devenue inutile, Léna est rejetée violemment, avec une extrême cruauté. Le cas est banal : les SDS (et d'autres mais ce que nous venons de décrire ici y fait référence) redoutent-ils alors qu'on leur présente l'addition? Léna devenue (plus ou moins) démunie et en pleine détresse, Adèle qui s'était longtemps servie d'elle contre la Sultane (Léna était la seule à avoir quelqu'influence sur sa mère) craint-elle de devoir renvoyer l'ascenseur et prend-elle les devants (avec la fameuse lettre odieuse écrite au nom de David ! -frère de Léna et mari d'Adèle- afin de la forcer à rompre définitivement avec lui (voir lien) ? C'est en ce sens en effet qu'aider quelqu'un, c'est s'en faire un ennemi ; lorsque le requis habituel déchée.. la peur de devoir restituer quoi que ce soit (voire plus qu'il n'a été offert!) fondent à l'ostraciser. Et on a alors, inattendue, l'explosion d'une haine rentrée qui torturait Adèle sous les sourires-carpette obligés devant un personnage-pilier à ménager à tout prix. C'est là alors qu'elle décide soudain que Léna est un/e gêneuse insupportable, voire une exploiteuse, (!) retournant les rôles à 180 degrés selon l'inversion classique dont les SDS sont passés maîtres.

Note: le cas est tout de même peu fréquent et ce texte n'a pas vocation à l'universalité... mais cela existe et il faut le savoir..

jeudi 7 janvier 2016

Molière pas mort !

.. Presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies.
... "il vaut mieux périr selon les règles que réchapper contre les règles..."
Etonament d'actualité.

Dupuis, le bateleur de la médecine naturelle

"Alors que se multiplient les scandales autour des médicaments chimiques, une petite élite de personnes bien informées bénéficient, elles, de traitements naturels auxquels le grand public n'aura pas accès avant des années. Vous pourriez peut-être faire partie de ce club très fermé, vous aussi...."

A love of swallow

A love of swallow, my formerly husband..

Nonetheless he has made me decamp,
This fragile little glove
For too many greedy hands
With nails acute as falcon's claws
By me, a fatal witch? Helen of Troy?
Anne Boleyn? No, only me, just a goy..
Although he was not Pâris nor Henry.
As war's traitor, dismissed outlaw ..
My poor little big man  !
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Torn of all sins and of the sad glory
Of Kukuland's frogs who croak and cry.
Whistling whisper hawks under pink sparows ..
Nevertheless, the one that I love,
Below although above..
Not an eagle but a thin tit..
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Fly with the hawks,
My butterfly,
My weather-cock.
Struggling with an unreachable sorrow,
But far from these endless raids
In my straight row, now,
Absolved by my peers..
I dance with wolves.
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lundi 4 janvier 2016

Bloody days..


Parce qu'il est plus facile de dire les choses ds une autre langue..
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Formerly man
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For too many sharped clawed hands,
A thin, a poor little glove
In any land stretched and torn
Charged to death, cucuklan frogs
Frail little man nevertheless I love,
Loved ? Below even above.

Seen as thunder in first a glance
After rape and all nights and nights
For ever, the blinding light !
I deserve him, ô yes, in any sense !
So, it was just for.. thousand days?
No more !
And the light went away.
Darkmore it never was before.

But two nice children worth that pain..
And now a third I too much desire again..
You can't help, from us! even if now you hate me
Souvent homme varie.

Visite chez le dentiste !!

Allô les potes !! JE REVIENS DE CHEZ LE DENTISTE. (suite de l'épisode précédent, un abcès le 31 décembre (!) la gueule d'éléphant man, que j'ai presque dégonflé avec des cataplasmes d'argile chaude en une ou deux heures.. reste encore une légère enflure..) Gentiment, il me reçoit en urgence. Un homme pressé. Dialogue :
- Bonjour docteur vous vous souvenez peut-être il y a longtemps m'avoir tirée d'affaire à propos d'un tire nerf que ma dentiste de Paris avait cassé dans ma mâchoire.. puis elle avait posé dessus un pivot qui me faisait affreusement mal... alors que tous vos confrères que j'avais consultés me disaient qu'il n'y avait rien à la radio, que je me faisais des idées, qu'il fallait attendre etc.." (Tout à fait exact. La s. s'était bien gardée de m'avouer son forfait, et en effet à la radio on ne voyait rien. Celui-ci, tout jeune à l'époque, fut le seul à m'avoir ÉCOUTÉE...  il avait suivi le tracé que je lui indiquais de la douleur avec un appareil sophistiqué.... et sur l'écran, soudain, ON VIT APPARAÎTRE... un petit tire bouchon, aussi net que ma tasse de café sur la table ouf, je n'étais pas dingue. Il me l'avait éclaté tout de suite et plus de douleur.. Donc un "bon".)
- Oui, je me souviens. Que vous arrive-t-il?
- Un abcès. Le 31. Je l'ai dégonflé à l'argile."
Il me regarde, un peu réprobateur, suspicieux en tout cas.
- Mais il n'est pas dégonflé ! On le voit tout de suite.
- Si vous m'aviez vue avant hier ! Si il est dégonflé enfin comparativement.. Presque; je n'ai plus mal ni de fièvre.. C'était pour vous demander de m'enlever la dent ou ce qu'il en reste, si vous pouvez..
(Comme on voit j'y mets toutes les formes requises.)
Il me fait asseoir, me regarde.
- C'est plein de pus..
- Mmm ? Ca ne me fait plus mal pourtant...
- Oui mais c'est encore plein de pus. Je fais une radio.
(Et avant que je n'ai pu dire quoique ce soit, s'empare d'un truc prêt à "faire".) Ça commence à me faire chauffer.
-Non. Pas de radio..
- Alors vous partez.
(Triple zut, il n'y en a pas d'autres à moins de 20 km et ma voiture ne les fera peut-être pas.. Je négocie.)
- Mais pourquoi une radio ?
- Parce que je veux voir ce qu'il y a dessous. Je ne peux pas enlever comme ça. Et puis enflé comme c'est, je ne pourrai pas vous anesthésier..
- Pas grave. Je suis emmerdante mais pas douillette.
- Non ne peux pas piquer ni trifouiller là dedans.. vraiment.
- OK allez y.
Il me "fait" la radio.
- Alors ?
- C'est tout infecté vous voyez bien !!
{Non, d'où je suis je ne vois que du noir. Serais-je en plus devenue aveugle? En fait, il n'a tout simplement pas orienté son écran ! mais de toutes manières, quelle idée ont-ils tous de parler parfois aux "patients" comme s'ils étaient des idiots (et des toiser lorsqu'ils se sont soignés eux mêmes, y compris avec succès !) et d'autres, des confrères pointus pouvant interpréter un truc qui même pour eux n'est pas toujours facile..}
- Si vous le voyez, vous, OK, moi je n'y connais rien de toutes manières.
- Et pour l'enlever, il faut que ce soit dégonflé, qu'il n'y ait plus d'infection.. Des antibiotiques et au bout de deux jours...
- Non; pas d'antibiotiques.
- Je vous dis que c'est la procédure (le ton n'est pas vraiment agressif mais fataliste et désabusé.) C'est ce qu'on fait.
- Mais moi je vous dis que ce n'est pas ce que JE fais..
- Mais c'est ce qu'il faut faire, c'est mon travail..
- Oui mais c'est MON  corps. J'y mettrai donc encore de l'argile ..
- Ok. Revenez jeudi mais faites le dégonfler avant par vos propres moyens, par la magie si vous voulez et ..
- Ce n'est pas de la magie, c'est de l'argile...
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Je pars perplexe : comment, après un film comme "les médicamenteurs" (à voir absolument) osent-ils encore "ordonner" (parfois agressivement) des médicaments? Alors que l'on sait que la plupart (en fait, tous) sont démarchés par des labos (et de quelle manière!) puis récompensés d'une façon ou d'une autre s'ils ont bien prescrit? Lorsqu'on sait qu'ils sont souvent devenus les missi domici des labos? Des machines à prescrire? Que la mise sur la marché des médocs est le fait d'aréopages souvent constitués par les labos eux mêmes ou leurs stipendiés, y compris s'ils ne sont pas efficaces et même s'ils sont toxiques (parfois à mort). Après le Médiator, comment osent-ils encore la ramener ? C'est la "procédure" !!

Article associé http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/08/visite-un-medecin-tres-decu.html
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Remakes de la couv de Marianne. Marie curie


Des hommes humoristes, chercheurs, intellos... et un sex symbol (femme évidemment).. tout un programme !! 

RIRE, SE MOQUER, PROVOQUER ?
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La femme qui a découvert le radium, n'a pas compris sa dangerosité, qui en est morte ainsi que la majorité de son staff, deux fois prix Nobel et a participé malgré elle à la bombe atomique. On donne un prix à qui a découvert quelque chose de remarquable. On n'en donne pas à qui a eu l'intuition que le radium "pouvait être dangereux" (une étudiante qui refusait de le manipuler à moins nues -comme tous le faisaient dans le laboratoire- et que Marie a traitée d' "idiote" et virée.) Dommage.

Sound and fury



Etre super entourée et être seule
Etre admirée et isolée de ceux qu'on aime
Isolée ? non, rejetée en somme,
Macho si on veut, même internes
Même fabriqués par nous (!).. 
These holy dais had broken my heart
My joy, my lust, my youth depart
Above the trone the thunder rolls
Life is nothing but a tale of sound and fury
That signifies : I am nothing
But a flying dust disapears with wind
That nobody attents. Famous but no more.

Le sexisme ordinaire sur un fil de FB.. Inattendu !


Le sexisme l'état pur et innocent sur un fil. Toute retournée, je ne sens même plus mon mal aux dents.. c'est à propos de la couv de Marianne qui représente des hommes penseurs (chacun à leur manière) et Bardot sexy => équation implicite : hommes = cerveaux ; femme = cul. (leur caractéristiques essentielles en somme, les plus remarquables!) Je cite le commentateur qui ose écrire :
"L'égalité sera le jour où les femmes n'auront pas honte de l'être, et c'est sur ça qu'il faut travailler. (!) La regression mormonnr non merci. Surtout qu'il y a aussi des determinismes biologiques la dessus et ça on ne le changera pas.
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Helene Larrivé
Helene Larrivé HEIN ? MAIS CE SONT LES HOMMES QUI NOUS FONT HONTE DE NOTRE CORPS soit en l'exhibant comme objet, soit en exigeant qu'on le cache, ce qui n'est pas très différent ! et vous nous demandez de faire ce que vous empechez de faire : c'est comme une course où on nous aurait mis un boulet que vous nous demanderiez de gagner ! le sexisme c'est exactement ça !!!
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Un certain Dupis (euh, Dupuis!) les infiltrés de l'écologie

Depuis quelque temps, je reçois (sans rien avoir demandé) une "lettre" titrée"nature et innovation" signé par un certain Dupuis. Intéressant (au début) incontestablement, le genre anti médicaments, remèdes naturels, critique (soft) de la médecine distributrice de médocs souvent plus toxiques que la pathologie et du défaut de formation des médecins qui ignorent eux mêmes le b a ba de (parfois exact) etc.. Le style seulement pointe le nez d'une publicité, habilement masquée par de réels conseils d'hygiène de vie (certes souvent connus mais pas toujours) légèrement anti viande (mais pas trop) style diminuez, (bref il ne faut fâcher personne). Déplaisant, celui d'un copinage vulgaire controuvé associé à quelques anecdotes inutiles visiblement faites pour remplir, qui se veulent humoristiques (et qui parfois le sont) sur ses enfants par exemple, son chien etc... excessif comme celui de tout vendeur bateleur, (des expressions qui reviennent en leitmotiv comme "un remède "miracle") et on attend toujours le truc miracle (mais alors vraiment miracle !) .. et la fin vous renvoie à une lettre (mais payante, celle-là) sur abonnement d'un certain docteur Hertoge grand spécialiste mondialement connu (!) de la médecine soit esthétique (! ça je l'ai vu sur le net) soit anti âge (ça c'est dans la "lettre") à ses livres "qui vont changer toute votre vie" et ses célèbres (!) conférences également payantes.. "pour vous assurer de vivre jusqu'à cent ans" ou à peu près. Mmmm !. D'autres lettres (il y en a presque tous les jours) appellent implicitement à des "dons", déplorant l'immense succès de celles-ci (les lettres gratuites) qu point que le Monsieur dit Dupuis qui n'écoutant que sa générosité humaniste les a initiées a été obligé de payer un service spécial de mails.. parce qu'il refusait résolument toute publicité (!) considérant que la médecine devait être à la portée de "tous" (ce qui ne l'empêche nullement juste après avoir donné quelques conseils pour vieillir moins vite (ceux-là d'une banalité affligeante, ne pas trop bouffer, surtout pas de graisses, dormir régulièrement et suffisamment bla bla) d'en promettre d'autres miracles... mais seulement accessibles sur le "dossier" du docteur H, c'est à dire sur abonnement pour la somme dérisoire de...("soyez parmi les privilégiés qui savent, ne laissez pas passer cette occasion unique"!)  J'ajoute que, plus grave, certaines lettres dramatisent volontiers des problèmes peu importants (elles font littéralement peur, genre "vous pouvez en mourir, ne laissez surtout  pas les choses en l'état" et sous entendu abonnez vous c'est le seul moyen de vous e sortir..) La dernière lettre conseillait vivement ... des hormones de croissance (!) et le sommeil pour récupérer de la fatigue, nécessaires au delà d'un certain âge et donnait même les appellations pour faciliter l'achat.. Mmmm... là on n'est plus tout à fait dans la "nature" !! ... souvenons nous de la maladie de KJ tout de même! .
Ce sont des infiltrés de l'écologie. Un créneau porteur, ciblant des gens visiblement friqué et âgés de plus de 50 ans ou parents récents -mais toujours friqués évidemment. Une entreprise familiale en réalité formée d'un gus, de sa femme; son père etc..qui engrange ps mal de fric. Et/ou des "aspirateurs de données", de email par exemple, qu'ils revendent à des clients spécialistes (vendeurs de médocs par exemple, dits naturels ou autres.) J'ai dû passer dans la charrette je ne sais comment. J'ai gardé l' "abonnement" gratuit parce que parfois il y a en effet des choses intéressantes (obligé, pour appâter le client) mais je crois que je vais les virer sous peu. .