La violence (suite du poème "La vie d'une femme normale") est sans doute volontairement accentuée dans des zones pauvres : que les racailles se battent entre eux, ça les occupe. Les femmes sont l'équivalent de "panem et circenses" ("panem et mulieribus"... ou plutôt "shit et mulieribus"*) des romains. Mises en exutoire, offertes à des frustrés révoltés pour les calmer. Pendant qu' ils s'embusqueront pour tirer une/des inconnue/s.. pendant qu'ils cogneront sur leur compagne, ils ne cambrioleront pas le super matche (euh marché !) ni ne s' intéresseront aux accords commerciaux France US. Comment les condamner puisqu'ils font le jeu du système d'exploitation? Cela explique l'extrême tolérance vis à vis de ces délits voire crimes sous couvert d'incompétences, de réduction des effectifs (conséquence d'une volonté et nullement d'une nécessité.. et non cause; comme on nous le fait croire) : CE SONT EN FAIT DES ENCOURAGEMENTS !
Exemple (il y en a de multiples, celui-ci est le dernier que j'ai entendu) de Sylvie, la femme dont le NEZ FUT CASSÉ! et qui s'est fait rembarrer et engueuler ("vous les femmes; vous faites toujours des histoires.." Et ils ont refusé sa plainte.)
*" Du pain et des jeux (du cirque)... (ce que réclamait le peuple romain à ses Empereurs, qui les leur offraient à satiété pour qu'ils se défoulent, surtout en période dures de défaites) devenu "du pain et des femmes" ou du shit et des femmes"..
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Le poème et analyse
http://journalphilosophoque.blogspot.com/2015/10/une-vie-de-femme-normale.html
Le dossier
http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/dossier-la-violence-en-herbe.html
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