Comment se débarrasser d'un champignon et l'éviter, site, voir lien. Raciste, voir image !
"Évitez les salons de manucure douteux. Vérifiez bien que le salon de manucure où vous allez stérilise bien tout leur matériel et leurs bacs après chaque client.
Si vous ne voulez pas demander aux propriétaires ou n'êtes pas sûr s'ils disent la vérité ou non, amenez tout simplement votre kit personnel de manucure/pédicure et demandez-leur d'utiliser votre matériel pour faire votre manucure/pédicure."
http://fr.wikihow.com/se-d%C3%A9barrasser-d'une-mycose-de-l'ongle
On remarque que la manucure est asiatique et la cliente blanche... Sans commentaires.
Au jour le jour, politique (?), amours, haines, brocards et fantaisies
lundi 31 août 2015
Le 31 août, Les olibrius, Vol sans escale, Mamita, morceaux choisis
Oh ! librius
A une terrasse, un soir, un sage,
Blême en os, tout déplumé,
Visage rouge pourtant, creusé,
Dents bigarrées en dégréage..
Le caïd de la Calende
Au énième pastis, renversé
En arrière, à la cantonade:
Le caïd de la Calende
Au énième pastis, renversé
En arrière, à la cantonade:
"Moi, ce que je demande
A une femme, c'est avant tout,
D'être douce, fine, pas compliquée surtout..
Parce que j'ai horreur des .."
Je ne saurai jamais
Ce qu'il ne faut pas être et faire
Pour l'honneur de lui plaire...
Je suis partie avec le hoquet
_____________________
Un de la même eau, plus sinistre encore
"Moi, ce que j'aime, c'est les minces
J'ai horreur des grosses,
C'est comme ça!"
("Serait-ce que tu es sous dimensionné?")
"Alors j'ai pas voulu.
Et elle l'a mal pris !
J'y peux rien, j'aurais bien aimé
Lui faire plaisir, mais..."
__________________________
Vol sans escale
"Moi, ce que j'aime, c'est les minces
J'ai horreur des grosses,
C'est comme ça!"
("Serait-ce que tu es sous dimensionné?")
"Alors j'ai pas voulu.
Et elle l'a mal pris !
J'y peux rien, j'aurais bien aimé
Lui faire plaisir, mais..."
__________________________
Vol sans escale
Il n'aurait fallu,
Qu'un instant de plus,
Pour que la mort vienne,
Il n'aurait fallu..
Qu'un instant de plus,
Et tu t'es à peine..
Dans ton vol arrêté..
Entre terrasses et ciné..
On ne voit pas le temps passer !
Faut-il pleurer, faut-il en rire
Faut-il te plaindre ou t'envier?)
Je n'ai pas le cœur à le dire,
Ni plus la force de penser..
__________________________
Mamita mia
Peu aimé pour toi,
T'en souviens-tu?
"S'il n'était plus, à Dieu ne plaise,
Que me serait-il advenu?"
En manque ensuite,
Exigeant, affamé, le retard de ton dû,
L'amour abnégué..
Seul avec l'autre à jamais,
Sans le voir si ce n'est,
Comme un jeu.
Dont tu avais été le jouet.
J'ai payé les dettes d'une autre.
Que tu n'as pu lui faire acquitter
-------
Morceaux choisis
"Quelle légèreté! (furieux)
Lui donner sa commission,
A cet escroc, sans même exiger..."
(Entre deux contractions)...
"Hélène à accouché, je suis crevé.."
"T'y vas ou t'y vais?"
dimanche 30 août 2015
Une balle ? Non, vous voulez dire un ballon ?
Un gendarme incrédule... "Il y a une dame qui PRÉTEND avoir reçu une balle"...
Article-base : http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/lettre-ouverte-2-une-marche.html
....(Réponse à un internaute qui s'est astreint à une recherche -difficile- des noms des femmes qui ont été tuées dans l'année parce que femmes, et propose de les inscrire sur un monument et de les lire à voix haute; quand moi je propose une marche avec la lettre ouverte à Marisol Touraine et d'autres).
Mais l'un n'empêche pas l'autre: cette liste (avec les noms ce serait bien en effet, "une femme" ce n'est pas pareil que "Michelle Robert, institutrice")... et aussi une marche (parce que les violences extrêmes commencent souvent -pas toujours en effet- par des violences "minimes" que l'on ne sanctionne pas, pour lesquelles on ne porte pas plainte, exemple les gendrames l'ont refusée pour la balle que j'ai reçue dans le bras). Les criminels ou simples délinquants (ici dans un village, tout le monde connait tout le monde et je suis plongée -un peu- dans un certain milieu, fût-ce de loin) surprennent par leur pragmatisme cynique de banquiers, leur manière très business de peser le rapport bénéfices/risques en vrai "pro". Une baffe, même violente : risque zéro, on peut y aller, il la niera si elle ose porter plainte, et éventuellement réitérera en plus fort, ça lui apprendra. Un coup qui l'envoie valdinguer : risque minime sauf s'il passe une voiture et encore, il pourra toujours dire qu'elle avait bu et qu'il n'a pu la retenir (encore une fois, ce sera parole contre parole)... un coup de feu (en le cas, par jeu!) même potentiellement mortel : risque faible etc... Mais si on veut plus, alors il faut avoir affaire à des gus de [...] sinon on peut se faire avoir" (il veut dire aller en prison). Cela, on l'entend parfois dans les troquets et ce ne sont pas toujours des paroles histrioniques vaines!! Le but de toutes manières est atteint : faire peur aux femmes, surtout celles qui vivent librement (qui vont se balader seules, qui sortent etc..) De cela on ne parle pas et c'est pourtant ce qui littéralement nous empêche de vivre. C'est le but. Après ils (pas forcément les mêmes mais des gus du même acabit) vont vous proposer de vous servir de garde du corps car "c'est dangereux de te ballader seule à cet endroit". (Ceci n'est pas une plaisanterie d'auteure mais la réalité.) D'où ma rage et ma lettre ouverte. Merci de m'avoir lue.
Consommation, culture de l'isolement et de la folie
Être seul semble être le comble de la civilisation.. et de la richesse, le must : *
Congélateur, on fait des stocks, gare à la panne d'électricité et il faut tout jeter, chemin "privatif" ou accaparé et barré, "pour la tranquillité" (dans un lieu isolé un peu sinistre !), isolement de plus en plus total.. Tout se passe comme si l'autre était l' ENNEMI dont il faut se garder, que l'on soit riche ou pauvre, et vice versa :une société d'ennemis..
C'est voulu. Par le système de surconsommation* que cela nourrit. (La proximité affective de voisins-amis générait l'entr'aide, économisait des prestations vénales, l'achat d'objets personnels...) Les pauvres (dans des HLM par exemple) vivent entourés et en société, par obligation (ce qui peut parfois causer des désagrément certes, mais offre tout de même plus d'avantages) : puits collectif autrefois.. lavoirs, proximité de palier.. D'où échange de services, requis par la nécessité ou pas, même en cas de dissensions idéologiques, culturelles.. (Cela arrive toutes castes confondues en cas de drame, exemple pendant les inondations, des sans papiers musulmans qui ont aidé un vieux monsieur un peu raciste à sortir de chez lui.. si bien qu'il fut "guéri"!!)
___________________
* Surconsommer, stocker, entraîne une surconsommation, puis suralimentation et obésité
Plus on est riche, plus on bénéficie de confort, plus on est "autonome"', plus on est seul, le top... et plus on consomme, cause et conséquence. D'où l'ennui obvié par des "distractions" !! vénales, elles aussi. TV, etc.. voire, pire, lecteur personnel de musique ou de DVD.... alors que la musique EST COMMUNICATION ! UNE DES MEILLEURES, LA PLUS PUISSANTE. ("Dis moi ce que tu aimes et je te dirai qui tu es!") On est ici dans la culture de la masturbation. (La TV au moins se regardait en famille ou en groupe). La voiture a parachevé l'isolation. On la prend parfois pour aller acheter le pain. Et elle enferme. C'est un enfermement qu'on transporte et qui nous transporte.
Contre exemple : sans électricité, je dois aller au village m'approvisionner presque tous les deux jours, ce qui me permet parfois de rencontrer des gens passionnants... par exemple le monsieur âgé qui m'a parlé de son passé de gendarme, (un livre à faire, sans aucun doute?)
De cette culture de la solitude, de la parano, de l'angoisse, du mépris des autres donc de nous-mêmes.. et aussi de l'envie (!) la santé se ressent. Dépressions, maladies de la sédentarité etc.. Pas de problème, les labos sont là pour ça. D'où médicaments. Ça tourne rond.
Si on pousse les choses plus loin, la prostitution est aussi à la clef de l'isolement. D'une part en soi: à force d'être isolé, on craque, et les hommes ont pour cela la "solution", les putes. Et d'autre part, conséquence devenue cause, à quoi bon s'encombrer d'une femme parfois inapte, acariâtre, ou qui va vieillir, tomber malade, vous occasionner bien des désagréments lorsqu'on peut en avoir une plus avenante de temps en temps, formée pour "ça", renouvelable, qui ne s'attardera pas, et n'exigera rien de vous que le prix de sa prestation? Ça vaut le coup, finalement !
* Les très riches s'en tirent bien ou mieux : visites, séjours, raouts, bals, réunions, fêtes privées, bateau, sport etc.. C'est la petite ou moyenne bourgeoisie qui a copié leur mode de vie mais sans pouvoir aller jusqu'au bout quant à ses indispensables et coûteuses parades qui paie le prix fort.
Congélateur, on fait des stocks, gare à la panne d'électricité et il faut tout jeter, chemin "privatif" ou accaparé et barré, "pour la tranquillité" (dans un lieu isolé un peu sinistre !), isolement de plus en plus total.. Tout se passe comme si l'autre était l' ENNEMI dont il faut se garder, que l'on soit riche ou pauvre, et vice versa :une société d'ennemis..
C'est voulu. Par le système de surconsommation* que cela nourrit. (La proximité affective de voisins-amis générait l'entr'aide, économisait des prestations vénales, l'achat d'objets personnels...) Les pauvres (dans des HLM par exemple) vivent entourés et en société, par obligation (ce qui peut parfois causer des désagrément certes, mais offre tout de même plus d'avantages) : puits collectif autrefois.. lavoirs, proximité de palier.. D'où échange de services, requis par la nécessité ou pas, même en cas de dissensions idéologiques, culturelles.. (Cela arrive toutes castes confondues en cas de drame, exemple pendant les inondations, des sans papiers musulmans qui ont aidé un vieux monsieur un peu raciste à sortir de chez lui.. si bien qu'il fut "guéri"!!)
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* Surconsommer, stocker, entraîne une surconsommation, puis suralimentation et obésité
Plus on est riche, plus on bénéficie de confort, plus on est "autonome"', plus on est seul, le top... et plus on consomme, cause et conséquence. D'où l'ennui obvié par des "distractions" !! vénales, elles aussi. TV, etc.. voire, pire, lecteur personnel de musique ou de DVD.... alors que la musique EST COMMUNICATION ! UNE DES MEILLEURES, LA PLUS PUISSANTE. ("Dis moi ce que tu aimes et je te dirai qui tu es!") On est ici dans la culture de la masturbation. (La TV au moins se regardait en famille ou en groupe). La voiture a parachevé l'isolation. On la prend parfois pour aller acheter le pain. Et elle enferme. C'est un enfermement qu'on transporte et qui nous transporte.
Contre exemple : sans électricité, je dois aller au village m'approvisionner presque tous les deux jours, ce qui me permet parfois de rencontrer des gens passionnants... par exemple le monsieur âgé qui m'a parlé de son passé de gendarme, (un livre à faire, sans aucun doute?)
De cette culture de la solitude, de la parano, de l'angoisse, du mépris des autres donc de nous-mêmes.. et aussi de l'envie (!) la santé se ressent. Dépressions, maladies de la sédentarité etc.. Pas de problème, les labos sont là pour ça. D'où médicaments. Ça tourne rond.
Si on pousse les choses plus loin, la prostitution est aussi à la clef de l'isolement. D'une part en soi: à force d'être isolé, on craque, et les hommes ont pour cela la "solution", les putes. Et d'autre part, conséquence devenue cause, à quoi bon s'encombrer d'une femme parfois inapte, acariâtre, ou qui va vieillir, tomber malade, vous occasionner bien des désagréments lorsqu'on peut en avoir une plus avenante de temps en temps, formée pour "ça", renouvelable, qui ne s'attardera pas, et n'exigera rien de vous que le prix de sa prestation? Ça vaut le coup, finalement !
* Les très riches s'en tirent bien ou mieux : visites, séjours, raouts, bals, réunions, fêtes privées, bateau, sport etc.. C'est la petite ou moyenne bourgeoisie qui a copié leur mode de vie mais sans pouvoir aller jusqu'au bout quant à ses indispensables et coûteuses parades qui paie le prix fort.
De qui s'agit-il ? Non, pas de mon ex quoique...
Je tombe tout à l'heure sur ce passage de la biographie de [....] voir plus loin si vous devinez. Sur le cul je suis !!
"Les femmes ont occupé une grande partie de sa vie : parfait pour celle qui lui plaît, jusqu'au jour où il l'oublie pour celle qui lui plaît davantage. Alors son oubli est entier. Son temps, son cœur, son esprit sont remplis lorsqu'il est amusé. À peine sait-il qu'il a donné des soins à d'autres objets, et si jamais on veut le rappeler à d'anciennes liaisons, on pourra les lui présenter comme de nouvelles.. Il est toujours aimable parce qu'il est insouciant, ne s'attache ni aux personnes ni aux choses : mais il jouit de tout, prend le mieux qui est à sa portée.. N'étant assez fort ni pour l'amitié ou l'amour, ni pour la haine, vous ne sauriez que lui être agréable ou indifférent... "
De qui est-ce ? et de qui s'agit-il ? Devine ! (Non, ce n'est pas moi qui l'ai écrit au sujet de mon ex, bien que j'aurais pu le faire, et dans les mêmes termes exactement.) Alors ? Cékiki ?
"Les femmes ont occupé une grande partie de sa vie : parfait pour celle qui lui plaît, jusqu'au jour où il l'oublie pour celle qui lui plaît davantage. Alors son oubli est entier. Son temps, son cœur, son esprit sont remplis lorsqu'il est amusé. À peine sait-il qu'il a donné des soins à d'autres objets, et si jamais on veut le rappeler à d'anciennes liaisons, on pourra les lui présenter comme de nouvelles.. Il est toujours aimable parce qu'il est insouciant, ne s'attache ni aux personnes ni aux choses : mais il jouit de tout, prend le mieux qui est à sa portée.. N'étant assez fort ni pour l'amitié ou l'amour, ni pour la haine, vous ne sauriez que lui être agréable ou indifférent... "
De qui est-ce ? et de qui s'agit-il ? Devine ! (Non, ce n'est pas moi qui l'ai écrit au sujet de mon ex, bien que j'aurais pu le faire, et dans les mêmes termes exactement.) Alors ? Cékiki ?
Le net et nous
Journal philosophique
Phénomène étrange que celui du virtuel et au fond réconfortant : des gens qui vous lisent ms ne vous le disent pas !! voire parfois vous évitent ou ne s'attardent pas.. tout en étant quand même sympas !! Voire encore mieux, vous répondent et communiquent avec vous sans se nommer alors qu'ils sont parfois ... à vos cotés, l'air de rien. Une pute virtuelle ? Toutes castes et obédiences décloisonnées pour le coup. Bien... et pas bien...
Être seul : le comble de la civilisation, de la richesse, le must : * congélateur, stocks, chemin "privatif" ou accaparé et barré, "pour la tranquillité" (dans un lieu isolé un peu sinistre !), isolement.. Tout se passe comme si l'autre était l' ENNEMI. C'est voulu par le système de surconsommation car cela le nourrit. (La proximité affective de voisins-amis générait l'entr'aide, économisait des prestations vénales, l'achat d'objets personnels...) Les pauvres (dans des HLM par exemple) vivent entourés, et en société, (ce qui peut parfois causer des désagrément certes, mais offre tout de même plus d'avantages) par obligation : puits collectif autrefois.. lavoirs, proximité de palier.. D'où échange de services, requis par la nécessité, ou pas, même en cas de dissensions idéologiques, culturelles.. (Cela arrive toutes castes confondues en cas de drame, exemple pendant les inondations, des sans papiers musulmans qui ont aidé un vieux monsieur à sortir de chez lui..)
Plus on est riche, plus on a de confort, plus on est "autonome"', plus on est seul, le top et plus on consomme. D'où l'ennui obvié par des "distractions" !! vénales, elles aussi. TV, etc.. voire, pire, lecteur personnel de musique ou de DVD. Alors que la musique EST COMMUNICATION ! UNE DES MEILLEURES, LA PLUS PUISSANTE. (Dis moi ce que tu aimes et je te dirai qui tu es!) On est ici dans la culture de la masturbation. (La TV au moins se regardait en famille ou en groupe). La voiture a parachevé l'isolation. On la prend parfois pour aller acheter le pain.
Contre exemple : sans électricité, je dois aller au village m'approvisionner presque tous les deux jours, ce qui me permet parfois de rencontrer des gens passionnants... exemple le monsieur qui m'a parlé de son passé de gendarme, (un livre?)
De cette culture de la solitude, de la parano, de l'angoisse, du mépris des autres donc de nous-mêmes.. et aussi de l'envie (!) la santé se ressent. Dépressions, maladies de la sédentarité etc.. D'où médicaments. Ça tourne rond.
Si on pousse les choses plus loin, la prostitution est aussi à la clef. À quoi bon s'encombrer d'une femme parfois inapte, ou qui va vieillir, tomber malade, vous occasionner bien des désagréments lorsqu'on peut en avoir une plus avenante de temps en temps, formée pour "ça", qui ne s'attardera pas, et n'exigera rien de vous que le prix de sa prestation?
* Les très riches s'en tirent bien ou mieux : visites, séjours, raouts, bals, réunions, fêtes privées, bateau, sport etc.. C'est la petite ou moyenne bourgeoisie qui a copié leur mode de vie mais sans pouvoir aller jusqu'au bout quant à ses indispensables parades qui en chie le plus.
Phénomène étrange que celui du virtuel et au fond réconfortant : des gens qui vous lisent ms ne vous le disent pas !! voire parfois vous évitent ou ne s'attardent pas.. tout en étant quand même sympas !! Voire encore mieux, vous répondent et communiquent avec vous sans se nommer alors qu'ils sont parfois ... à vos cotés, l'air de rien. Une pute virtuelle ? Toutes castes et obédiences décloisonnées pour le coup. Bien... et pas bien...
Être seul : le comble de la civilisation, de la richesse, le must : * congélateur, stocks, chemin "privatif" ou accaparé et barré, "pour la tranquillité" (dans un lieu isolé un peu sinistre !), isolement.. Tout se passe comme si l'autre était l' ENNEMI. C'est voulu par le système de surconsommation car cela le nourrit. (La proximité affective de voisins-amis générait l'entr'aide, économisait des prestations vénales, l'achat d'objets personnels...) Les pauvres (dans des HLM par exemple) vivent entourés, et en société, (ce qui peut parfois causer des désagrément certes, mais offre tout de même plus d'avantages) par obligation : puits collectif autrefois.. lavoirs, proximité de palier.. D'où échange de services, requis par la nécessité, ou pas, même en cas de dissensions idéologiques, culturelles.. (Cela arrive toutes castes confondues en cas de drame, exemple pendant les inondations, des sans papiers musulmans qui ont aidé un vieux monsieur à sortir de chez lui..)
Plus on est riche, plus on a de confort, plus on est "autonome"', plus on est seul, le top et plus on consomme. D'où l'ennui obvié par des "distractions" !! vénales, elles aussi. TV, etc.. voire, pire, lecteur personnel de musique ou de DVD. Alors que la musique EST COMMUNICATION ! UNE DES MEILLEURES, LA PLUS PUISSANTE. (Dis moi ce que tu aimes et je te dirai qui tu es!) On est ici dans la culture de la masturbation. (La TV au moins se regardait en famille ou en groupe). La voiture a parachevé l'isolation. On la prend parfois pour aller acheter le pain.
Contre exemple : sans électricité, je dois aller au village m'approvisionner presque tous les deux jours, ce qui me permet parfois de rencontrer des gens passionnants... exemple le monsieur qui m'a parlé de son passé de gendarme, (un livre?)
De cette culture de la solitude, de la parano, de l'angoisse, du mépris des autres donc de nous-mêmes.. et aussi de l'envie (!) la santé se ressent. Dépressions, maladies de la sédentarité etc.. D'où médicaments. Ça tourne rond.
Si on pousse les choses plus loin, la prostitution est aussi à la clef. À quoi bon s'encombrer d'une femme parfois inapte, ou qui va vieillir, tomber malade, vous occasionner bien des désagréments lorsqu'on peut en avoir une plus avenante de temps en temps, formée pour "ça", qui ne s'attardera pas, et n'exigera rien de vous que le prix de sa prestation?
* Les très riches s'en tirent bien ou mieux : visites, séjours, raouts, bals, réunions, fêtes privées, bateau, sport etc.. C'est la petite ou moyenne bourgeoisie qui a copié leur mode de vie mais sans pouvoir aller jusqu'au bout quant à ses indispensables parades qui en chie le plus.